Je montais sur la table d’examens, et tentai de mettre mes pieds dans les étriers comme exigé mais ceux-ci étaient bien trop ramené en avant et je du pour exécuter la consigne
avancer mon bassin sur le bord de la table. La position était très inconfortable d’autant que j’avais le cul presque dans le vide et les jambes tellement écartées que je pensais qu’elles allaient
se détacher de mes hanches. Ainsi positionnée, j’offrais à la vue de Maitre mon anus et ma chatte grands ouverts. Encore quelque chose de très humiliant mais tellement excitant pour moi…Et puis
il y avait cette sublime femme que j’imaginais déjà entre mes cuisses à me laper la chatte …Quelques fourmillements familiers se faisaient déjà ressentir…Oui j’avais envie de sa langue, envie de
ses caresses, cela intensifiait l’humidification de mon entre jambe. Pendant que j’attendais que Maitre daigne s’intéresser à moi j’essayais d’écouter ce qui pouvait bien ce passé dans la pièce
d’à côté, mais j’avais beau tendre l’oreille et même arrêter quelques secondes de respirer, pas un bruit, pas un son ne me parvenait…Je flippais grave. Tout à coup ils firent leur entrée.
<<Regardes-moi cette salope comme elle mouille déjà…>>
<<Oui Maitre effectivement cette jeune chienne est bien en chaleur, il serait temps de la faire saillir comme il se doit sans vouloir être effrontée Maitre>>
<<Très bien , fais ton office et prépares moi cette chienne à être prise sans ménagement>>
<<Bien Maitre, comme vous voudrez…>> Sur ce, elle tira le tabouret et s’installa juste devant ma chatte. Intérieurement j’exultais, j’allais enfin sentir sa langue que j’imaginais
être douce et gourmande, me manger littéralement la chatte…Oui ben je l’imaginais seulement…Au lieux de sa langue elle retira les œufs et les remplaça immédiatement sans douceur par une espèce de
god presque flasque et mit un spéculum dans mon anus puis elle écarta les parois de l’outil jusqu’à ce qu’elle m’entendis gémir parce que j’avais mal…
<<Maitre…A peine 2.5 cm d’écartement culier, est-ce suffisant ou dois-je insister d’avantage?>>
<<Non, n’insiste pas, cela n’en sera que meilleur lorsque je la prendrai à sec et que je défoncerai son cul, j’aime assez lorsque c’est serré…Une vraie pucelle du cul ma petite
salope…>> ajouta Maitre en me claquant très fortement la cuisse. La soumise commença alors à actionner une pompe en forme de poire et je sentis ce god dans ma chatte gonflé gonflé…Il
gonflait tellement que j’ai cru qu’il allait m’exploser les entrailles. Ma chatte s’ouvrait de plus en plus. J’avais mal terriblement mal et je tentais alors de me dégager.
Pour mettre fin à mes gesticulations incessantes elle m’attacha les mains de chaque côté de la table et passa autour de ma taille une très large ceinture de cuir qu’elle serra au maximum pour que
mon bassin reste collé à cette fichue table, puis pour éviter que je n’enlève mes pieds de ces maudits étriers de fer ceux-ci se retrouvèrent attachés également. J’étais pieds et poings liés,
impossible d’esquisser le moindre petit mouvement.
<<Cries une seule fois poufiasse et je te garantis que tu ne crieras plus de sitôt>> me dit Maitre en exhibant devant moi un bâillon sur lequel était un énorme god…un truc à vous
désarticuler les mandibules…Je choisis de ne pas crier pour ne pas goûter à l’engin et ne pas décevoir une fois encore le Maitre. Je voulais me montrer digne de son attention, je voulais qu’il
soit fier de moi, aussi même si je devais me mordre les joues jusqu’à me les arracher je me promis mentalement de ne pas émettre le moindre son…Sauf que même avec la plus grande des motivation et
la meilleure volonté ben ça reste plus facile à penser qu’à faire……Je vis la « gynéco » passer autours de sa taille un god-ceinture monstrueusement gros et sans crier gare elle m’encula avec
l’envie sadique de me faire très mal…Challenge réussit…Sous ses furieux coups de reins le god s’enfonçait plus loin dans ma rondelle, j’avais l’impression d’être déchirée, et je hurlais de
douleur.
Maitre vint se placer près de ma tète appuya sur un bouton et la table descendit à hauteur de son sexe. Il décrocha la partie de la table qui servait à tenir ma tête qui bascula en arrière et il
m’engouffra sa queue dans la bouche en me disant
<<Tiens garce,suces moi et pendant ce temps tu fermeras ta grande gueule>>
Je n’avais pas le choix que d’exécuter l’ordre. Je me concentrai alors sur la délicieuse queue de Maitre et petit à petit alors que je le suçais avec dévotion la douleur d’être brutalement
enculée se dissipa et à ma plus grande surprise ça devint même très agréable. Je regrettai amèrement que ce ne soit pas la divine chaleur de la queue de Maitre qui me défonce de la sorte. Maitre
lâcha dans ma gorge des grandes giclées de sa semence et je pris bien garde à ne pas en perdre une seule goutte.
Ma tête fut redressée , on cessa de m’enculer et ma chatte fut libérée de ce god gonflable. Maitre vint se mettre devant moi ,à côté de sa soumise et me demanda de confesser mes défaillance
pendant que je serai obligée de les regarder s’amuser ensembles avec collé sur le clito une toute petite pastille reliée à un fil lui-même relié à un boitier. J’ignorai encore ce que c’était,
mais j’étais certaine que je n’allais plus tarder à le découvrir. J’hésitai une seconde avant d’ouvrir la bouche. Maitre s’impatienta et me claqua le cul:
<<Bon je n’ai pas toute la nuit chienne alors vas-y annonces tes fautes et vite sinon….>> Il n’eu aucunement besoin de finir sa phrase, je ne savais que trop bien ce que voulait dire
ce « sinon »…
<<Maitre, votre chienne veut avouer qu’à deux reprises elle a faillit aux consignes données et que comme une vulgaire pute de seconde zone elle a jouie alors qu’il lui était strictement
interdit de le faire.>> Je marquais une pose et ne quittais plus des yeux Maitre qui fourrait de tout ce qui lui passait sous les mains la chatte et le cul de l’autre qui ne disait mot mais
qui visiblement se régalait de son traitement.
<<ET?…La suite chienne,vite…>>
<<Et Maitre votre salope réclame que vous la punissiez avec la plus extrême sévèrité,ne faites preuve d’aucune clémence je vous en supplie car il n’y a que de cette manière que je
deviendrais pour mon adulé Maitre la parfaite salope qu’il est en droit d’attendre,ne serait-ce que pour vous remercier d’être si attentionné à mon égard.>> Bien évidemment ce dernier
verbiage était celui que je préférais le moins car l’imagination de Maitre en matière de correction pouvait se révéler être sans limites.
<<Très bien garce…Voici donc ta punition pour tes défaillances:
Je vais user et abuser de cette autre chienne qui m’est toute dévouée, tu devras nous regarder sans participer mais tu auras l’interdiction de jouir, de plus quand je l’exigerai, tu lècheras la
chatte de cette salope sans la faire jouir, à toi de savoir la faire se retenir, sinon tu devras subir dix coups de cravache là où elle l’aura décidé, est-ce clair pour toi?>>
<<Oui Maitre, vos ordres sont très clairs…>> Lui chuchotais-je en pleurant. Il était pour moi un million de fois plus humiliant de devoir entendre et voir Maitre jouir sans pouvoir
participer à son plaisir. J’aurais tellement préféré qu’il m’assène cent coups de cravache mais qu’il m’autorise à lui donner sa jouissance.
Maitre actionna alors le boitier auquel mon clito via le fil et la pastille collé dessus était relié. Une très faible électrisation se fit ressentir et j’en éprouvait un immense plaisir. Ma
chatte se mit instantanément à juter et je compris dès lors qu’il allait être extrêmement difficile de me retenir de jouir et de juter comme un fruit trop mur que l’on presse…J’avais beau me dire
non, mon corps refusait d’entendre ma tête, et le spectacle de Maitre qui usait et abusait de sa chienne à volonté n’en était que plus excitant. Maitre cessa de jouer avec le temps de me libérer
de mes nombreux liens, et m’ordonnas de venir m’agenouiller devant elle pour passer ma tête entre ses jambes qu’elle avait écarter.
<<Maintenant truie, vas-y lèches ma salope et régales toi de ce qu’elle t’offre.>>
Je posais alors l’intégralité de ma bouche sur sa chatte béante et ruisselante et je me mit à lui bouffer le con à grands coup de langue, prenant de temps à autre son énorme clito entre mes
lèvres ou le titillant du bout de la langue. Visiblement à entendre ses râles de plaisir ce que je lui prodiguais lui faisait le plus grand bien, à moins, que les coups de cravache appliqués
délicatement, sur sa croupe tendue, par Maitre ne furent à l’origine de son approbation.
Occupée que j’étais à me délecter de cette chatte généreuse en jute je ne fis pas attention au moment ou j’aurai du cesser toutes investigations linguales car un jet impressionnant de cyprine
parfumé et délicieux m’inonda la bouche et sans plus me soucier de la sentence risquée je me délectais avidement de ce sublime nectar…Le petit courant électrique qui me faisait frétiller le clito
atteint son apogée au moment même ou elle jouie et je ne pus m’empêcher de me lâcher aussi. J’en avais tellement envie qu’une flaque de ma mouille et de ma cyprine se dessina sur le sol.
Impossible de nier que je venais de prendre un pied d’enfer…..
C’est là que brusquement je fus tirée de mon rêve. Je sentais sur le drap une humidité tiède anormale…Oui, force était de reconnaitre que durant mon sommeil j’avais jouie aussi intensément et
abondamment que dans mon rêve.
Je tentais de m’éclipser discrètement du lit conjugal pour aller me laver l’entre jambe quand l’autre(mon con…joint) me demanda où j’allais si vite. Je lui répondis sans m’arrêter que j’avais
presque pisser au lit car je venais de rêver que j’étais sur les toilettes.
Il s’est foutu de moi, mais je n’en fus pas étonnée, puis, il s’est rendormit. Je souriais intérieurement en me remémorant quelques brides de mon rêve…Pauvre connard, pensais -je alors, jamais tu
ne me feras jouir aussi bien ni aussi longtemps que Maitre…Un précoce reste un précoce n’est-ce pas?
C’était le rêve et le fantasme d’une soumise à qui son Maitre manque cruellement….Comme elle aimerai qu’il lui revienne….Mais cela aussi reste dans le domaine du rêve, je m’en suis presque fait
une raison….