Vendredi 12 février 5 12 /02 /Fév 13:22

soumiseA vous Maitre,dès maintenant,
Je vous fais là le serment,
De toujours satisfaire pleinement
Votre plaisir et contentement.

S'il vous plait que je sois chienne
Ce sera avec le plus grand plaisir
Que je deviendrai une hyène
Pour vous,une bête assoiffée de désirs.

Si à d'autres chiens vous m'offrez
Ou à d'autres chiennes en chaleur
Je vous jure de tous les contenter
Rien que pour votre unique bonheur.

Je ne cesserai de quémander
Pour obtenir votre jouissance
D'être fouettée et cravachée
Afin d'apprendre l'obéissance.

Le collier que vous m'offrirez
Avec sa laisse assortie
Soyez certain que je vais le porter
Pour combler toutes vos envies

Je me prosternerai à vos pieds
Et baiserai le sol
Que vous foulerez
Excitée comme une folle.

D'être sans cesse excitée
Et d'être mise en chaleur
Pour la chienne délurée
Ne sera que pur honneur.

Maitre,soyez Lucifer
Et le collier de vos envie
le porter j'en serai fière
Et de n'être qu'à vous aussi.

Humblement je vais le porter
Pour vous appartenir à vie
Pour vous,devoir tout endurer
Est bien plus qu'une envie.

Il me tarde de vous offrir
Mon âme,mon corps et mon cul
Si cela vous fait plaisir
Alors je vous en offrirai bien plus.

A vous mon vénéré Maitre,qui êtes Lucifer,
Je vous fais là par écrit le serment
De porter votre marque et d'en être fière
Et de n'être plus qu'à vous dès cet instant.

Votre chienne se couchera à vos pieds
baisera la trace de chacun de vos pas
En souhaitant vivement vous combler
Sans vous causer le moindre tracas

Je vous jure fidélité et sincérité
Une entière et totale appartenance
Par le regard ne jamais vous défier
Et de me délecter de vos jouissances.

Je n'aurai alors qu'un unique but
Celui de toujours vous contenter
Sans que jamais rien ne me rebute
Ou ne vienne m'écoeurer.

Chaque ordre,chaque exigeance
Seront pour moi de purs bonheurs
Et déguster votre jouissance
Tellement bien plus qu'un bel honneur...

A vous Maitre vénéré....

votre humble soumise.

Par soumise88 - Publié dans : Poesies erotiques - Communauté : salope soumise
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Vendredi 12 février 5 12 /02 /Fév 12:41

Je vais vous conter les dernières vacances passées avec les pensionnaires et le personnel éducatif de ce putain de pensionnat...Nousallions ma douce et moi avoir nos 15 ans,et je n'allais plus tarder à honorer les coutumes familiales qui à l'époque stipulaient que je devais être "mariée", bon gré malgré....Un bien delicieux souvenir que ces vacances passées ensembles,hélas les dernières pour nous,mais nous ne le savions pas encore...

Fin juin 1985,ma douce et moi attendions depuis quelques jours avec impatience que soit enfin affiché le nom et surtout l’endroit ou chaque pensionnaire devrait passer le mois d’aout pour les vacances. Il arrivait quelques fois(très rarement cela dit) que nous soyons placées par deux dans des familles d’accueil triées sur le volet et qui avaient toutes le point commun d’être plus que pieuse, avec prières matin midi soir, la sacro-sainte messe du dimanche et tout le saint bataclan….La mère supérieure afficha la liste tant attendue…Des yeux nous cherchâmes où nous devions être accueillies espérant secrètement que nos familles respectives ne soient pas trop éloignées l’une de l’autre, ce qui nous laisserait le loisir de nous retrouver à la première occasion…Soudain mon regard et celui de ma chérie, se bloquèrent sur la même ligne…Incroyable! ,inouïe! Fantastique!….Elle et moi avions été placées ensembles. Ou les sœurs étaient subitement devenues folles, ou elles n’avaient tout simplement pas fait attention lors des attributions…Nous n’avions pas le droit d’être ensembles parce qu’une rumeur courait sur nos ébats,rumeur à laquelle les frangines entendaient bien mettre un terme au plus vite…Des lesbiennes dans leur établissement était inconcevable voyons…De quoi auraient-elles eu l’air si cela était remonté jusqu’au diocèse hein? Bref, ce qui comptait c’est que l’attribution qui nous avait été faite ne change pas, alors durant ce putain de long mois de juillet nous n’avons rien fait ni dit qui puisse mettre en danger nos véritables vacances d’aout…C’est à peine si nous osions échanger des regards…Juillet c’était vacances OBLIGATOIRES avec les bonnes sœurs, où elles nous faisaient découvrir chaque année une nouvelle région…C’était barbant mais la discipline était beaucoup moins rigoureuse et de temps en temps nous avions le droit de nous lâcher un peu ,mais juste ce qu’il fallait, à petites doses homéopathiques bien sur, car avec les cornettes point trop n’en faut…..Quand je dis que nous pouvions nous lâcher, entendez par là que nous avions l’autorisation d’aller nous promener seules durant une à deux heures, ou aller nous coucher à 21h30 au lieu de 20h45...Quand je vous disait que trop point n’en faut, je n’exagérais rien….Pour des adolescentes de presque 15 ans c’était on ne peux pas faire plus chiant et mortellement ennuyeux, mais nous n’avions pas d’autres choix de toutes façons, alors juillet 1985 ma déesse et moi avons obtenu la palme d’or de la gentillesse, de la discipline, et surtout celle de la supercherie!!!

Juillet est passé bien trop lentement à notre goût, puis aout est arrivé…Enfin…..

Jusqu'au matin du départ elle et moi avons fait profil bas,hors de question de tout fiche en l'air si pres du but....Nous sommes montée dans ce fichu bus,pas l'une à côté de l'autre bien sur,et avons entamé le long voyage qui nous menait droit vers le paradis...14h30 de voyage croyez moi ça a de quoi démoraliser le plus optimiste des être humains,d'autant que pour passer le temps,les soeurs qui nous accompagnaient nous obligeaient à chanter...Un truc de dingue,nous étions à la limite de la crise d'hystérie,et il n'en aurait pas fallut beaucoup plus pour que l'une des deux saute sur les cornettes et les etrangle...Nous sommes enfin arrivées à destination à la tombée de la nuit...Royan,c'est là que nous descendîmes du bus. Le chauffeur balança nos bagages sur le sol,remonta dans son maudit engin qui fumait à en faire crever un cancéreux,et on nous laissa là,sans rien nous dire de plus...Un peu paniquées au premier abord, nous eûmes vite fait de trouver un petit coin à l'abri des regard et nous nous sommes rassurées à grands renforts de baisers amoureux et de caresses langoureuses....Soudain une voix haut perchée hurla: Les pensionnaires de notre dame de la providence...Par ici s'il vous plait....Ca il ne pouvait s'agir que de nous deux...Vite fait bien fait nous avons remis de l'ordre dans nos tenues et nous nous sommes avancées en direction de la voix.
<<Mesdemoiselles,bonsoir,pardonnez mon retard,mais vous n'êtes pas seules au monde>>
<<B'soir m'dame>> avons nous répondu en choeur...
<<Nous ferons les présentation plus tard,pour le moment je dois vous mener vers votre lieu de vacances...Vous logerez chez MadameXXX ,tâchez d'être courtoises et bien élevées mesdemoiselles,ou il vous en cuira...J'ai amplement entendu parler de vous,aussi je veux que vous sachiez que....>> patati patata,nous n'écoutions déjà plus...Ouf,cette vieille peau n'était pas notre famille d'accueil,et rien que cela nous rendit le sourire.
Nous arrivâmes devant une maison peu accueillante,isolée de toute autre habitation,et une dame d'un certain âge nous accueillit...Pas franchement agréable la mamie,mais nous avions connu pire,aussi nous nous en trouvions pas gênées outre-mesures...Il nous en fallait d'avantage que cela. On fit rapidement les présentations de politesse,puis nous passâmes à table.Bien sur il fallait dire les bénédicités avant de toucher au repas qui nous semblait peu comestible et pour cause,fenouille et tripes...Plus dégueulasse on meurt...Nous avons pretexté la fatigue du voyage pour échapper au repas.La vieille nous indiqua nos chambres respectives mais ne nous accompagna pas à cause de l'escalier devenu trop difficile à grimper pour ses vieilles jambes...Tient au moins elle nous fichera la paix pour la nuit et ne viendra pas surveiller ce que nous ferons...Evidemment deux chambres avaient été préparées,mais n'allez certainement pas vous imaginer que nous avons occupé les deux,là faut pas trop rêver...Une des deux chambre avait un lit de deux personnes,avec sa propre salle de bain,enfin quand je dis salle de bain ce n'était rien d'autre qu'une espèce de douche faite de bric et de broc et un vieil évier ébrêché,sans eau chaude bien sur...Rien de comparable au très luxueuses salles de bain du Ritz ,nous n'étions pas au Georges V ça c'était évident....

Ma belle jeta ses valises à travers la pièce et se rua dans la salle d'eau...Moi j'entrepris de déballer nos petites affaires personnelles et de les ranger dans l'armoire,quand j'entendis soudainement un hurlement à faire peur à un moribond...Mon bébé hurlait à s'époumonner,elle était en danger pour crier de la sorte...Je fonçais droit la retrouver pour voler à son secours...Je la trouvais tétanisée sous la douche tremblant de tous ses membres,avec juste un doigt tendu en direction de quelque chose.Incapable de dire un mot elle fixait obstinément l'endroit que son index m'indiquait.A mon tour je regardais dans cette direction et je vis une malheureuse petite souris plus tétanisée que ma chérie...Cette ridicule petite chose avait réussit à clouer le bec de ma naïade...j'éclatais de rire et j'allais saisir par la queue cette bestiole que je remis en liberté en la déposant délicatement sur le bord de la fenêtre,puis je revins voir ma dulcinée qui ne bronchait toujours pas...mon dieu qu'elle était belle...Sous l'effet de l'eau froide ses tetons s'étaient redressés, ils pointaient de façon outrancière,et je n'avais qu'une idée en tête...Les happer,les sucer,les mordiller...j'en salivais déjà abondament,et il n'y avait pas que ma bouche qui salivait....Comme dans un rêve,j'avançais vers elle,enjambais le bac à douche,puis lui pris le visage entre les mains et je la regardais fixement quelques secondes le temps pour moi d'essayer de savoir si l'envie que j'avais d'elle était réciproque...Je n'eu pas besoin de me poser la question longtemps...Elle se colla contre moi,me souffla combien elle avait eu peur. Je ne lui laissa pas le temps d'en dire d'avantage,je posai ma bouche sur la sienne et l'embrassais longuement.Nos langues se cherchaient,jouaient ensembles,c'était on ne peux plus délicieux...Cela dit tout ce qui était d'elle était divin...Puis je descendis ma tête un étage plus bas et attrappais enfin un de ses têtons qui ne demandait pas mieux.Je jouais quelques minutes avec l'un et l'autre pendant que mes mains allaient et venaient sur son corps de déesse. j'allais de ses chevilles à ses fesses hautes et rebondies,mon index lui caressant quelques fois l'anus,puis explorant plus avant sa fente intime que je sentais mouillée et gluante de cyprine...Elle avait envie de bien plus ,alors je lui fis lever une jambe qu'elle posa sur mon épaule,puis j'approchais très doucement de sa petite chatte en feu...Je titillais d'abord tres légèrement son adorable clitoris,je n'excerçais aucune pression de mes lèvres,je voulais que ce soit elle qui me le demande...J'entrais et sortais ma langue dans sa chatte au gré de mes envies,ma main gauche lui triturant un sein,ma main droite qui avait déboutonné mon pantalon, caressait mon clito gonflé tout prêt à exploser. Je devais me faire violence pour ne pas succomber à l'envie de me laisser à jouir avant elle. Elle avança son bassin contre ma bouche imposant ainsi la pression tant attendue et me chuchota
<<Oui,bébé,vas-y,lêches moi,fais moi jouir salope...>>
J'adorais lorsqu'elle se laissait aller à me parler ainsi,c'était rare mais quand cela arrivait mon plaisir s'en trouvait décuplé...J'accélérais alors les mouvement de ma langue et de mes doigts sur chaque parties occupées par l'un ou l'autre de mes membres, et je la sentis enfin défaillir...Au même instant je çédais aussi au plaisir. je buvais sa cyprine comme un elixir magique,comme une fontaine de jouvence...Je buvais sans rien en perdre...J'en gardais un peu dans la bouche,puis je me relevais et vins mettre mes lèvres sur les siennes pour un dernier baiser. A ce moment là nous partageâmes sa mouille dans un long et savoureux baiser...Elle semblait apprécier cela...D'ailleurs quand nous nous séparâmes,elle me dit
<<Tu sais quoi mon ptitdélice?>>
<<Non,bébé,dis moi>>
<<Ben c'est nettement meilleur qu'un coup de pied dans le cul et que les fenouilles du repas...>>...Puis elle éclata de rire. Sa peur était oubliée et j'en était ravie...
<<Dis, tu devrais retirer tes fringues trempées et venir te mettre au chaud sous les couvertures,à moins que tu ne préfères dormir à côté bébé...>>
Mais oui,c'est vrai,je n'avais même pas pris le temps de me déshabiller avant de la rejoindre sous la douche...Heureusement que nous étions en aout et que la température extérieure avoisinait encore les 18degrès malgrès l'heure tardive,sans cela je crois que j'aurais choppé la mort...
<<Dormir où mon ange? Dans la pièce à côté? Là tu débloques grave chérie,c'est avec toi que je passerai la nuit...Et n'essayes pas de t'endormir car je n'en ai pas terminé avec toi je te préviens...Notre toute première nuit complète ensembles et tu voudrais m'évincer du plumard?Je ne me.....>> Je tournais la tête dans sa direction pour finir ma phrase quand je compris que cela faisait au moins cinq minutes que je dialoguais seule. Mon adorable bébé s'était endormie avec dans la bouche sa sucette d'enfant...Bon et bien voilà une excellente occasion de réfléchir à la meilleure manière de te réveiller en doucuer me suis je dis en la rejoignant...Mes mains repartirent à la recherche de son corps sans que je puisse me contrôler...Je n'y pouvais rien si j'étais incapable de rester sagement inerte lorsque j'étais à ses côtés...En plus elle était nue et cerise sur le gateau,entièrement offerte à tous mes fantasmes même les plus vicelards....Les vacances allaient être excellentes,en tout cas elles prenaient déjà une agréable tournure....(à suivre)

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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Lundi 8 février 1 08 /02 /Fév 08:42

Je montais sur la table d’examens, et tentai de mettre mes pieds dans les étriers comme exigé mais ceux-ci étaient bien trop ramené en avant et je du pour exécuter la consigne avancer mon bassin sur le bord de la table. La position était très inconfortable d’autant que j’avais le cul presque dans le vide et les jambes tellement écartées que je pensais qu’elles allaient se détacher de mes hanches. Ainsi positionnée, j’offrais à la vue de Maitre mon anus et ma chatte grands ouverts. Encore quelque chose de très humiliant mais tellement excitant pour moi…Et puis il y avait cette sublime femme que j’imaginais déjà entre mes cuisses à me laper la chatte …Quelques fourmillements familiers se faisaient déjà ressentir…Oui j’avais envie de sa langue, envie de ses caresses, cela intensifiait l’humidification de mon entre jambe. Pendant que j’attendais que Maitre daigne s’intéresser à moi j’essayais d’écouter ce qui pouvait bien ce passé dans la pièce d’à côté, mais j’avais beau tendre l’oreille et même arrêter quelques secondes de respirer, pas un bruit, pas un son ne me parvenait…Je flippais grave. Tout à coup ils firent leur entrée.

<<Regardes-moi cette salope comme elle mouille déjà…>>

<<Oui Maitre effectivement cette jeune chienne est bien en chaleur, il serait temps de la faire saillir comme il se doit sans vouloir être effrontée Maitre>>

<<Très bien , fais ton office et prépares moi cette chienne à être prise sans ménagement>>

<<Bien Maitre, comme vous voudrez…>> Sur ce, elle tira le tabouret et s’installa juste devant ma chatte. Intérieurement j’exultais, j’allais enfin sentir sa langue que j’imaginais être douce et gourmande, me manger littéralement la chatte…Oui ben je l’imaginais seulement…Au lieux de sa langue elle retira les œufs et les remplaça immédiatement sans douceur par une espèce de god presque flasque et mit un spéculum dans mon anus puis elle écarta les parois de l’outil jusqu’à ce qu’elle m’entendis gémir parce que j’avais mal…

<<Maitre…A peine 2.5 cm d’écartement culier, est-ce suffisant ou dois-je insister d’avantage?>>

<<Non, n’insiste pas, cela n’en sera que meilleur lorsque je la prendrai à sec et que je défoncerai son cul, j’aime assez lorsque c’est serré…Une vraie pucelle du cul ma petite salope…>> ajouta Maitre en me claquant très fortement la cuisse. La soumise commença alors à actionner une pompe en forme de poire et je sentis ce god dans ma chatte gonflé gonflé…Il gonflait tellement que j’ai cru qu’il allait m’exploser les entrailles. Ma chatte s’ouvrait de plus en plus. J’avais mal terriblement mal et je tentais alors de me dégager.

Pour mettre fin à mes gesticulations incessantes elle m’attacha les mains de chaque côté de la table et passa autour de ma taille une très large ceinture de cuir qu’elle serra au maximum pour que mon bassin reste collé à cette fichue table, puis pour éviter que je n’enlève mes pieds de ces maudits étriers de fer ceux-ci se retrouvèrent attachés également. J’étais pieds et poings liés, impossible d’esquisser le moindre petit mouvement.

<<Cries une seule fois poufiasse et je te garantis que tu ne crieras plus de sitôt>> me dit Maitre en exhibant devant moi un bâillon sur lequel était un énorme god…un truc à vous désarticuler les mandibules…Je choisis de ne pas crier pour ne pas goûter à l’engin et ne pas décevoir une fois encore le Maitre. Je voulais me montrer digne de son attention, je voulais qu’il soit fier de moi, aussi même si je devais me mordre les joues jusqu’à me les arracher je me promis mentalement de ne pas émettre le moindre son…Sauf que même avec la plus grande des motivation et la meilleure volonté ben ça reste plus facile à penser qu’à faire……Je vis la « gynéco » passer autours de sa taille un god-ceinture monstrueusement gros et sans crier gare elle m’encula avec l’envie sadique de me faire très mal…Challenge réussit…Sous ses furieux coups de reins le god s’enfonçait plus loin dans ma rondelle, j’avais l’impression d’être déchirée, et je hurlais de douleur.

Maitre vint se placer près de ma tète appuya sur un bouton et la table descendit à hauteur de son sexe. Il décrocha la partie de la table qui servait à tenir ma tête qui bascula en arrière et il m’engouffra sa queue dans la bouche en me disant

<<Tiens garce,suces moi et pendant ce temps tu fermeras ta grande gueule>>

Je n’avais pas le choix que d’exécuter l’ordre. Je me concentrai alors sur la délicieuse queue de Maitre et petit à petit alors que je le suçais avec dévotion la douleur d’être brutalement enculée se dissipa et à ma plus grande surprise ça devint même très agréable. Je regrettai amèrement que ce ne soit pas la divine chaleur de la queue de Maitre qui me défonce de la sorte. Maitre lâcha dans ma gorge des grandes giclées de sa semence et je pris bien garde à ne pas en perdre une seule goutte.

Ma tête fut redressée , on cessa de m’enculer et ma chatte fut libérée de ce god gonflable. Maitre vint se mettre devant moi ,à côté de sa soumise et me demanda de confesser mes défaillance pendant que je serai obligée de les regarder s’amuser ensembles avec collé sur le clito une toute petite pastille reliée à un fil lui-même relié à un boitier. J’ignorai encore ce que c’était, mais j’étais certaine que je n’allais plus tarder à le découvrir. J’hésitai une seconde avant d’ouvrir la bouche. Maitre s’impatienta et me claqua le cul:

<<Bon je n’ai pas toute la nuit chienne alors vas-y annonces tes fautes et vite sinon….>> Il n’eu aucunement besoin de finir sa phrase, je ne savais que trop bien ce que voulait dire ce « sinon »…

<<Maitre, votre chienne veut avouer qu’à deux reprises elle a faillit aux consignes données et que comme une vulgaire pute de seconde zone elle a jouie alors qu’il lui était strictement interdit de le faire.>> Je marquais une pose et ne quittais plus des yeux Maitre qui fourrait de tout ce qui lui passait sous les mains la chatte et le cul de l’autre qui ne disait mot mais qui visiblement se régalait de son traitement.

<<ET?…La suite chienne,vite…>>

<<Et Maitre votre salope réclame que vous la punissiez avec la plus extrême sévèrité,ne faites preuve d’aucune clémence je vous en supplie car il n’y a que de cette manière que je deviendrais pour mon adulé Maitre la parfaite salope qu’il est en droit d’attendre,ne serait-ce que pour vous remercier d’être si attentionné à mon égard.>> Bien évidemment ce dernier verbiage était celui que je préférais le moins car l’imagination de Maitre en matière de correction pouvait se révéler être sans limites.

<<Très bien garce…Voici donc ta punition pour tes défaillances:

Je vais user et abuser de cette autre chienne qui m’est toute dévouée, tu devras nous regarder sans participer mais tu auras l’interdiction de jouir, de plus quand je l’exigerai, tu lècheras la chatte de cette salope sans la faire jouir, à toi de savoir la faire se retenir, sinon tu devras subir dix coups de cravache là où elle l’aura décidé, est-ce clair pour toi?>>

<<Oui Maitre, vos ordres sont très clairs…>> Lui chuchotais-je en pleurant. Il était pour moi un million de fois plus humiliant de devoir entendre et voir Maitre jouir sans pouvoir participer à son plaisir. J’aurais tellement préféré qu’il m’assène cent coups de cravache mais qu’il m’autorise à lui donner sa jouissance.

Maitre actionna alors le boitier auquel mon clito via le fil et la pastille collé dessus était relié. Une très faible électrisation se fit ressentir et j’en éprouvait un immense plaisir. Ma chatte se mit instantanément à juter et je compris dès lors qu’il allait être extrêmement difficile de me retenir de jouir et de juter comme un fruit trop mur que l’on presse…J’avais beau me dire non, mon corps refusait d’entendre ma tête, et le spectacle de Maitre qui usait et abusait de sa chienne à volonté n’en était que plus excitant. Maitre cessa de jouer avec le temps de me libérer de mes nombreux liens, et m’ordonnas de venir m’agenouiller devant elle pour passer ma tête entre ses jambes qu’elle avait écarter.

<<Maintenant truie, vas-y lèches ma salope et régales toi de ce qu’elle t’offre.>>

Je posais alors l’intégralité de ma bouche sur sa chatte béante et ruisselante et je me mit à lui bouffer le con à grands coup de langue, prenant de temps à autre son énorme clito entre mes lèvres ou le titillant du bout de la langue. Visiblement à entendre ses râles de plaisir ce que je lui prodiguais lui faisait le plus grand bien, à moins, que les coups de cravache appliqués délicatement, sur sa croupe tendue, par Maitre ne furent à l’origine de son approbation.
Occupée que j’étais à me délecter de cette chatte généreuse en jute je ne fis pas attention au moment ou j’aurai du cesser toutes investigations linguales car un jet impressionnant de cyprine parfumé et délicieux m’inonda la bouche et sans plus me soucier de la sentence risquée je me délectais avidement de ce sublime nectar…Le petit courant électrique qui me faisait frétiller le clito atteint son apogée au moment même ou elle jouie et je ne pus m’empêcher de me lâcher aussi. J’en avais tellement envie qu’une flaque de ma mouille et de ma cyprine se dessina sur le sol. Impossible de nier que je venais de prendre un pied d’enfer…..

C’est là que brusquement je fus tirée de mon rêve. Je sentais sur le drap une humidité tiède anormale…Oui, force était de reconnaitre que durant mon sommeil j’avais jouie aussi intensément et abondamment que dans mon rêve.

Je tentais de m’éclipser discrètement du lit conjugal pour aller me laver l’entre jambe quand l’autre(mon con…joint) me demanda où j’allais si vite. Je lui répondis sans m’arrêter que j’avais presque pisser au lit car je venais de rêver que j’étais sur les toilettes.
Il s’est foutu de moi, mais je n’en fus pas étonnée, puis, il s’est rendormit. Je souriais intérieurement en me remémorant quelques brides de mon rêve…Pauvre connard, pensais -je alors, jamais tu ne me feras jouir aussi bien ni aussi longtemps que Maitre…Un précoce reste un précoce n’est-ce pas?

 

C’était le rêve et le fantasme d’une soumise à qui son Maitre manque cruellement….Comme elle aimerai qu’il lui revienne….Mais cela aussi reste dans le domaine du rêve, je m’en suis presque fait une raison….

 

Par soumise88 - Publié dans : fantasmes d'une chienne - Communauté : salope soumise
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Jeudi 4 février 4 04 /02 /Fév 07:44

Les couples défilaient les uns après les autres avec une lenteur digne d’une file d’attente à la caisse d’un grand supermarché le jour de paie…Rapidement je regarda la montre de Maitre et constatai qu’il était déjà tout près de 19h…Il restait encore 5 couples avant que j’entre dans ce maudit cabinet…Les personnes qui étaient encore là ne semblaient pas être dérangées par le spectacle que Maitre exigeait que j’offre, mieux même, hommes et femmes paraissaient apprécier .Une des femmes attira plus particulièrement mon attention..Depuis que nous étions entré Maitre et moi, elle n’avait pas levé une fois les yeux du magasine qu’elle avait de posé sur les genoux, et qui bizarrement restait ouvert sur la même page…Son conjoint lui s’était appuyé la tête contre le mur et semblait être assoupit…La secrétaire entra et appella le couple suivant…Tiens me dis-je on dirait que cela va plus vite. Effectivement il ne resta bientôt plus que l’étrange couple et nous. Maitre fît tomber la pile de revues en allongeant ses jambes…Aussitôt l’homme se réveilla, et s’agenouilla pour les ramasser…Maitre l’interrompît et lui dit

<<Je vous en prie Monsieur, ma soumise va le faire, mais régalez vous donc du spectacle offert>>

<<Et bien merci Monsieur>> répondit l’homme. Il se remit assis pile en face de moi passa sa langue sur ses lèvres et une main sur le devant de son pantalon. Il m’indiquait ainsi qu’il bandait et que ce que je montrais lui plaisait bien.

<<Soumise…Caresses toi le clito pendant que tu es accroupie les pattes écartées, je l’exige…>>

<<Mais Maître…>> Une violente secousse au fond de ma chatte me stoppa net dans ma protestation, je jouie quasi instantanément et un jet de cyprine inonda le sol…Pourvu que Maitre n’ai rien vu ou il m’en cuira me dis-je…

<<Ahh je vois salope que tu as envie d’aller pisser…Et bien laisses donc Monsieur t’accompagner aux toilettes, je t’attends, vas…>>

Etonnée par cette demande je me levais et suivis de mauvaise grâce l’homme jusqu’aux commodités. Il me fit mettre à genoux devant lui, extirpa de son pantalon son sexe qui n’était en rien comparable à celui de Maitre, puis il me l’enfourna de force dans la bouche. Je le pompais ainsi durant quelques minutes puis au moment ou je le sentis prêt à jouir il se retira me repoussa violemment ce qui eut pour effet de me faire m’allonger sur le dos, les cuisse grandes ouvertes, il fléchit légèrement les genoux et juste quand il se lâcha sur ma chatte gluante de mouille, il actionna la télécommande que Maitre lui avait discrètement glissé dans la poche. Les vibrations maximum des œufs et le jet chaud de son sperme dégoulinant sur mon clito eut pour effet immédiat de me foudroyer sur place. L’orgasme que j’eu fut dévastateur et je ne pus m’empêcher d’émettre des râles de plaisirs et d’en redemander…

Il se rhabilla et me regarda. Je compris soudainement que je venais encore une fois de faillir aux ordres. Je suppliais alors l’homme de ne rien dire à Maitre, mais percevant sa présence derrière la porte je m’empressais d’ajouter que Maitre n’appréciait pas que ses soumises ne viennent pas d’elles même avouer leurs défaillances, donc que je lui serai reconnaissante de bien vouloir me laisser lui dire ce que j’avais fais. Il n’y vit aucun problème. Il ouvrit la porte, sortit son porte feuille, et effectivement Maitre se trouvait là,…

…L’homme lui tendit un billet de 50 euro et ajouta;

<<Tu avais raison, cette poufiasse est faite pour sucer, ça vaut parfaitement le prix convenu…>>

J’avais du mal à en croire mes oreilles…Maitre m’avait-il prostituée par hasard?

<<Ca va garce, ne fais pas cette tête…Comment comptais tu régler ta consultation dis moi? Tu n’imaginais tout de même pas que j’allais payer pour toi j’espère?>>
<<Non, bien sur que non Maitre, mais je ne paye rien car je suis bénéficiaire du service médical gratuit, il n’était donc pas nécessaire de…>>

<<Et bien c’est parfait dans ce cas…Tu m’as rapporté 50 euros et pour une première fois c’est pas si mal …>>

La honte que j’avais…J’étais humiliée comme jamais je ne l’avais été jusque là, et je commençais doucement à pleurer. J’avais honte oui, mais pas d’avoir été prostituée pour si peu, honte parce que malgré cela j’avais jouie intensément, abondamment, que j’étais excitée, et je l’étais encore d’avantage…Une seule idée me hantais à cet instant précis: que Maitre me prenne là et me défonce de partout. J’avais une envie irrépressible de le sentir en moi, de sentir ses mains fermes me claquer sévèrement le cul…Je voulais qu’il me fasse regretter d’avoir faillit à deux reprises… J’espérais même qu’il se montre d’une extrême intolérance vis-à-vis de mon comportement. Comme Maitre sait mieux que personne qui je suis, ce que je pense ou ce dont j’ai besoin, avant même que je n’avoue mes fautes il me dit ceci

<<Ne t’en fais pas je saurai me montrer très sévère avec toi lorsque tu te seras confesser, fais moi confiance ma garce tu vas me supplier de m’arrêter je te le garantis…>>

J’étais terrifiée car jamais auparavant Maitre ne m’avait menacée à

ce point, et je commençais à comprendre le vieil adage qui dit…ne souhaite rien car cela pourrait arrivé…les mots prenaient tout leur sens à cet instant. Je frémissais tant j’avais peur.
Lorsque nous revîmes à la salle d’attente celle-ci était vide, seule celle que j’avais naïvement prise pour la secrétaire était là à nous attendre.
<<Et bien voilà, je crois que c’est enfin notre tour Maitre>> Dit-elle en s’approchant du Maitre pour s’agenouiller devant lui et lui baiser le sexe en signe de respect…

Maitre??? Qu’est-ce que cela voulait dire? Chez qui étais-je? Pourquoi cette magnifique créature l’appelait-elle ainsi? Qui était-elle d’abord celle la? Une pointe de jalousie me transperça le cœur. Pas le temps de m’étendre plus longuement avec mes questions, elle me poussait sans ménagement en direction de son cabinet.

<<Déshabilles-toi, et allonges toi sur la table d’examens ,passes tes jambes dans les étriers et attends que nous arrivions >> m’ordonna-t-elle. Devant le regard noir de Maitre je sentis que toute protestation ou tentative de rébellion de ma part me coûterait très cher, aussi j’optai pour l’obéissance et j’allai faire sagement ce qui m’étais demandé…..(à suivre)

Par soumise88 - Publié dans : fantasmes d'une chienne - Communauté : salope soumise
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Mercredi 3 février 3 03 /02 /Fév 07:43
Le réveil me tira brutalement de mon sommeil...Enfin il était 15h30,j'allais savoir ce qui m'était réservé par mon vénéré Maitre!!!  Je m'extirpais rapidement de ma couche et me préparais à le rejoindre. J'avais rapidement enfilé une jupe mi-longue noire,un string,des bas,un chemisier blanc et un soutien-gorge.J'avais également relevé ma crinière en une queue de cheval haute.J'étais prête et je me dirigeais aussi rapidement que possible dans le hall. 15h45,j'étais en avance,mais cela était nettement préférable pour moi. Je patientais depuis deux ou trois minutes seulement quand Maitre me rejoint.
<<Bien, très bien même ma soumise,je vois que tu es à l'heure...J'aime l'exactitude...Par contre je n'apprécie pas la manière dont tu es vêtue pour ce rendez vous,prends ça et va te changer,tu as exactement deux minutes...Magnes toi chienne...>>
<<Oui Maitre,j'y vais immédiatement...Merci Maitre>>  Et je galopais vers ma cellule pour me changer. Ce que Maitre exigeait que je porte était on ne peux plus minimum...Une jupe ultra courte,des bas résilles,un chemisier transparent,et uniquement des porte seins...Puis une paire de hauts escarpins noirs attachés sur le devant par une petite lanière de cuir.Pour en mettre si peu, le temps impartit était plus que nécessaire et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire j'étais de retour près de Maitre.
<<Ahhhh, voilà qui est nettement mieux et qui me convient d'avantage...Tiens allonges toi sur le dos sur cette table et releves tes jambes en écartant bien tes cuisses...>>
J'obtempérais sans broncher et attendais que Maitre m'ordonne de me relever.
Maitre s'approcha de moi écarta ma chatte et y engouffra sans ménagement des oeufs vibrants...puis il m'ordonna de me mettre à 4 pattes...Il inséra dans mon cul un petit plug ,me claque l'arrière train et me dit de me relever...Il sortit de sa poche un petit boitier noir. Je fus surprise et mon air abrutie dû poser la question de lui même car Maitre me dit alors
<<Tu verras plus tard ce que c'est...En attendant il t'es strictement interdit de jouir compris chienne?>>
<<Oui Maitre chuchotais-je alors>>
Vous pouvez aisément imaginer qu'avec un plug dans le cul et deux oeufs dans la chatte,rien que le fait de devoir marcher provoquait en moi quelques sensations ô combien délicieuses,et ne pas jouir allait se révéler être plus que difficile...
Nous sortîmes dehors et je m'imaginais bêtement que nous allions y aller en voiture,et bien je fus surprise de voir Maitre sortir un collier noir en cuir et me le passer autour du cou,avec sa laisse assortie et me dit:
<<Allez,marches devant moi,un peu d'excercice va te faire le plus grand bien...>>
Je passais devant lui en baissant la tête.J'étais terriblement honteuse.Le froid faisait pointer mes têtons,mais l'action des oeufs et du plug combinés me donnaient une sensation de chaleur intense,je sentais ma mouille inonder mon entre jambe...Les passants jetaient sur moi des regards ahuris,voire même méprisants,à la plus grande satisfaction de Maitre qui ne tarissait pas d'éloge sur sa salope bien obéissante...J'étais mortifiée,mais tellement excitée...
Nous avons parcourus ainsi 8 à 900 mètres,puis nous sommes entré sous une porte cochère.Un endroit que je ne connaissais pas...La plaque brillante et dorée du gynécologue m'indiqua que j'allais effectivement être vue par un "vrai spécialiste,je soupirai alors de soulagement,mais je n'étais qu'au début de mes surprises...Avec Maitre tout est possible,mais je l'ignorais encore et n'allais plus tarder à en faire la délicieuse,douloureuse et vicieuse expérience...
Nous entrâmes dans la salle d'attente bondée...Certaines des patientes ne pouvaient pas cacher leur etat de gestation,d'autres étaient peut être là pour subir un examen ou entendre une confirmation de grossesse,mais chacune d'elle était accompagnée de son conjoint...Nous fîmes une entrée très rmarquée.Maitre me désigna une chaise du regard et je fonçai m'y installer...J'essayais tant bien que mal de cacher ma quasi nudité sous mes vetements trop justes,mais Maitre me souffla à l'oreille;
<<Dis donc petite pute,rappelles-moi quel est la première des règles à observer quand on est une bonne chienne soumise à son Maitre...>>
<<C'est de ne jamais avoir les jambes fermées Maitre>> lui répondis-je aussitôt
<<Oui c'est exact,alors qu'attends tu pour ecater de façon provocante tes cuisses? Te faut-il des encouragements?>>
<<Non ...Mais Maitre,s'il vous plait...>>
Pas le temps d'en dire plus,Maitre sortit de sa poche le boitier noir actionna un bouton et les oeufs se mirent à vivrer au fond de ma chatte de façon tres intense...Ô mon dieu,c'était divin,je sentais que j'allais jouir sur place,et je me mordais violemment l'intérieur de la joue pour tenter de controler cette jouissance.
<<Alors?...Dis un "mais "de plus et je recommence mais cette fois la vitesse sera au maximum...Bien compris? tu écartes tes cuisses que ces hommes puissent voir quelle salope tu es...>>
Les larmes aux yeux j'écartais timidement les jambes,laissant aux autres tout le loisir de regarder ma chatte trempée de mouille,et comme toute bonne soumise je me redressais de façon à ce que mes seins soient tenus hauts,puis je baissais le regard...Il y avait encore devant nous 8 couples,l'attente risquait d'être longue très très longue et juteuse à souhait pour Maitre....(à suivre)
Par soumise88 - Publié dans : fantasmes d'une chienne - Communauté : salope soumise
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