Jeudi 15 juillet 4 15 /07 /Juil 09:13

C’est une nouvelle fois tourmentée et douloureusement accompagnée cette nuit(15/07/2010,2h00 du matin) que je viens vous faire le récit d’un délicieux souvenir datant d’il y a presque 21 ans...

 

 

Pour notre anniversaire que nous avions coutume de fêter ensembles puisque je rappelle que ma déesse et moi n’avons de 6 petits jours d’intervalles, mon ondine m’avait invitée dans un très luxueux restaurant( oui cela change de la cafétéria du coin vous avez raison) de la ville ou j’habitais alors…Elle avait parcourut juste pour cette occasion plus de 300km rien que pour être avec moi, devant reprendre la route dès le lendemain matin très tôt…Il est vrai qu’à cette époque celui qui m’accompagne dans mon quotidien ignorait complètement l’existence de notre relation très amoureuse et n’avait vu aucune objection que j’accepte avec empressement cette habituelle invitation annuelle…Quand j’y repense, je me dis que s’il l’avait su à ce moment là, nul doute qu’il m’aurait probablement tuée, enfin c’est une image, n’allez pas vous imaginer qu’il puisse être aussi « courageux »…la peur de se retrouver en taule est infiniment plus grande que le fait d’avoir à redouter la perte de celle qu’il prétend aimer…bref…20h, me voilà prête et ne tenant plus en place…La réservation est pour 20h45...Le taxi qu’elle a commandé tarde à venir, je m’inquiète et tourne en rond comme un fauve enchainé. Pour tenter de dissimuler mon impatience et pour me donner une contenance je fume clope sur clope, puis je retouche mon maquillage, vérifie encore et encore qu’aucun cheveux ne dépasse du chignon que je me suis fait faire pour l’occasion chez le coiffeur quelques heures auparavant…J’examine de très près ma tenue…Suis-je absolument certaine qu’elle est conforme à ce que ma douce princesse a demandée? Alors je repasse une énième fois en revue chaque détail:

Dessous: soutient gorge et culotte blanc et noir à dentelle ajourée, porte jarretelles et bas noirs.

Dessus: Jupe mi longue ample noire et chemisier rouge carmin de chez Diane Dalys offert l’an dernier, escarpins vernis noirs avec sacoche assortie.

Coiffure: Chignon obligatoire porté assez haut visage bien dégagé.
Maquillage: Fard à paupière léger, fard à joue, crayon et mascara sans oublier le rouge à lèvre rouge sang appliqué avec soin et pour tout parfum, eau de chèvrefeuilles…Ah et n’oublions pas l’épilation intégrale fraichement effectuée…C’est bon tout y est…J’ajoute un petit collier de perles blanches( imitation perles de culture), un bracelet au poignet et un autre à ma cheville droite passé par-dessus le bas pour être vu…Bracelet de cheville représentant un dauphin qui selon ma belle signifiait ma liberté de lui appartenir…J’ignorais bien entendu que c’était là ma toute première marque d’appartenance…Peut être elle aussi en ignorait le véritable sens, puisqu’elle aussi portait le même…

Bon ce taxi, va-t-il arrivé ou pas? Aurait-il oublié sa course,? a-t-il cassé sa montre ou alors s’est-il tout connement perdu ce crétin dans la ville qu’il est sensé connaitre mieux que le fond de sa poche…Un coup de klaxon impatient me sort de ma rêverie du moment…j’attrape à la volée mon imperméable noir, dis à mon conjoint un très rapide « salut passe une bonne soirée, ne m’attends pas trop tôt et t’en fais pas pour moi » vlan…je claque la porte avant même d’entendre son éternel laïus «  ne bois pas, ne te fais pas remarquer, tiens toi correctement… et surtout ne lui passe pas le bonjour de ma part à ta copine… » J’ignorai que je n’allais pas le décevoir en ce qui concerne le « ne te fais pas remarquer »…Je m’engouffre à l’arrière du taxi et ordonne gentiment au chauffeur de se rendre rapidement à l’adresse mentionnée sur le petit bristol que je lui tends… « Bien ma p’tite dame> me répond le chauffeur…Durant le trajet pour ne pas me laisser aller à la nervosité qui m’obligerait à me ronger les ongles que j’ai pris soin de vernir en rouge vif je regarde et scrute discrètement le visage de mon accompagnateur dans le rétroviseur…Plutôt âgé, (à 19 ans, avoir 30/35 ans vous fait paraitre vieux je vous l’assure ), moustache( beurk, j’ai la phobie des poils quels qu’ils soient et où qu’ils puissent être), yeux sombres, regard fuyant, menton trop long et un nez à pouvoir fumer des extras longues sous la douche sans être incommodé par l’eau qui coule…Oui je sais, j’étais plutôt très intransigeante sur le physique pour mon jeune âge, mais n’est-ce pas justement le privilège de la jeunesse que d’être très sélective en matière de physique? Si bien évidemment, et je suis certaine que vous qui me lisez l’avez été tout autant que je le fus…N’est-ce pas?

20h35...Enfin nous voici arrivés…Pas trop tôt…je sors de quoi régler la course mais le chauffeur m’assure que cela a déjà été effectué…Décidemment mon amour avait pensé à tout ,jusqu’au plus petit détail pour être romantique en ce jour si particulier pour nous deux…Dieu que je l’aime ma princesse à moi…Je laisse cependant un généreux pourboire, monsieur est gentleman apparemment puisqu’il me faut insister pour qu’il l’accepte…Je le lui lance plus que je ne lui tends car je suis impatiente de retrouver enfin celle qui me manque tellement depuis plus de 3 mois, temps maximum autorisé entre deux rencontres selon un pacte bien établit entre nous…3 Mois se sont écoulés. 3 longs et interminables mois avant de nous serrer avec amour l’une contre l’autre…Je sors de ce fichu taxi qui empeste le sapin vert, horrible mélange de parfums qui me donne presque la nausée, claque la portière et d’un pas rapide et décidé je pars en direction du restaurant qui semble être bondé…Et zut…nous n’aurons certainement pas pu obtenir notre table habituelle, la table la plus éloignée et ma foi bien à l’abri derrière une luxuriante végétation en pot…Une table chargée de souvenirs, d’émotions et de larmes de joies ou de peines également…Notre table…c’est fou ce qu’un simple détail peut avoir de l’importance lorsque l’on est très…fleur bleue, c’est comme cela que l’on dit me semble t-il…Oui important au point de vous gâcher une soirée lorsque celui-ci n’est pas à sa place habituelle, tel que dans nos souvenirs…Un rien perturbant aussi…

<<Bonsoir, bienvenue au XXXXX mademoiselle?…>> entends-je alors discrètement demandé par une charmante hôtesse d’accueil…

<<Pardon..Je rêvais…je suis Mademoiselle X et j’ai une table de réservée au nom de mademoiselle XX »…

Elle vérifie rapidement son registre et acquiesce en souriant…Elle n’est pas simplement charmante cette jeune hôtesse, mais elle est également sublimement belle, certainement pas autant que mon ondine d’amour, mais quand même…Elle est fort plaisante à regarder….

« Mais oui, une table pour 20h45 et une chambre pour la nuit…Veuillez me suivre s’il vous plait »…Et comment que je vais la suivre, j’y tiens moi à ce rendez vous…Et elle me précède en s’assurant bien que je suis juste derrière elle…Quelle jolie démarche, quelle grâce dans l’ondulation de ses hanches, elle est presque féline et elle laisse dans son sillon un léger parfum que je pense reconnaitre…quoi??? Une chambre pour la nuit??? Je venais juste de prendre conscience de ce qu’elle m’avait annoncé à l’entrée…une chambre?…Mais cela n’était pas prévu au programme…Pas le temps de tergiverser plus longuement j’arrivais déjà à table… Notre table…Bonté divine, j’étais tellement absorbée par la grâce et la féminité naturelle de l’hôtesse que je n’avais même pas prêter attention à la direction que nous avions prise pour nous rendre à l’endroit qui nous était réservé…

Ma belle était déjà là magnifiquement belle comme je m’y attendais, quoiqu’à chacune de nos rencontre je lui trouvais d’avantage de beauté qu’à la précédente…Elle se leva et me tendit les bras… »Enfin bébé, te voilà mon délice…Mon dieu que tu m’a manqué tu sais » …Avant que je puisse répondre j’avais déjà ses bras autour de ma taille et elle me pressait contre elle…Ces effusions de tendresse n’étaient pas pour me déplaire mais j’étais très étonnée qu’elle se laissa aller ainsi en public, elle qui par-dessus tout tenait à ce que notre liaison interdite reste secrète, non pas pour elle, mais pour moi uniquement. Elle n’ignorait pas les conséquences que la révélation de notre amour aurait de dévastateur dans ma vie familiale…Pour le conjugal elle s’en moquait éperdument, elle et me conjoint se vouaient une haine toute particulière et bien entendu réciproque et si celui-ci n’avait émit aucune espèce d’objection à me laisser me rendre auprès d’elle pour une soirée c’était surtout parce qu’il la savait capable de venir elle-même me chercher et quelle ne reculerait pas devant l’affrontement qui suivrait…Comme elle aimait à le dire, des connards pareils elle en dégustait dix au petit déjeuner, alors ce petit coq de basse court sans aucun atout pour lui ne lui faisait pas peur….

Elle se sépara de moi quelques secondes plus tard, l’hôtesse toujours présente me proposa de me débarrasser et tira la chaise avec un « s’il vous plait…je vous en prie » des plus charmant…je lui tendis mon imper, gardant avec moi ma sacoche et lui rendis son sourire en la remerciant pour son amabilité…

« Euh si je vous dérange y a qu’à le dire!!! » me dit alors mon amour en riant…Jalouse elle? Non vous n’y pensez pas! Moi j’étais jalouse et exclusive mais ma tendresse à moi était bien sûr trop libertine pour ce permettre cette bassesse de sentiments…libertine et absolument convaincue surtout de ma fidélité à son égard, alors elle aimait me titiller sur ce sujet….

« Mademoiselle s’il vous plait, deux coupes de champagne je vous prie » demanda-t-elle à la serveuse qu’elle avait discrètement « harponnée » en claquant des doigts…

« Tout de suite mesdames «  répondit notre petite serveuse…Et ma douce sucrerie fidèle à elle-même ne s’empêcha pas de commenter le physique disgracieux de la serveuse…

« Oh elle n’est pas très jolie, mais elle m’a l’air d’être efficace…qu’en penses tu bébé? »

« Moi? Euh…oui certainement »  ‘J’étais bien trop captive de sa beauté pour avoir fait attention à l’autre…Il n’existait absolument plus personne lorsque ma déesse était là…Le monde aurait pu s’écrouler sous mes pieds, le restaurant pouvait prendre feu que je ne me serait rendu compte de rien de toute façon…

Nos coupes de champagne nos furent servies avec de petits amuses gueules, veuillez pardonner mon langage, accompagnées de petites mises en bouche (voilà qui est plus classe…) et nous primes commande de notre repas…Enfin ma belle s’était comme d’habitude occupé de tout, repas et boissons comprises…Ce soir là le repas bien que délicieux fut poissonneux…

Entrées: petites composition de la mer sur son lit d’asperges, ça en jette non?

Plats: Sole meunière avec sa sauce machin chose (ma mémoire me trahie, désolée) et petites juliennes de légumes vapeurs, là ça en jette nettement moins quand on n’aime pas la verdure…Comme je le dis très souvent, à force de manger comme les lapins inévitablement on finit par baiser comme eux et cela fait maintenant près de 15 ans que ce dicton se trouve être vérifié par mon conjoint…A peine est-il devant la porte , pas le temps de sonner que le paillasson est trempé….Oui oui je sais il y a là de quoi rire, enfin surtout si vous ne vivez pas la situation…Je joue souvent à ce petit jeu stupide quand je le sens d’humeur « amoureuse » et que je sais que je n’y échapperai pas: Avant d’écarter les cuisses, j’allume une cigarette que je pose dans le cendrier, puis me laisse vulgairement sauter par monsieur…Croyez le ou pas mais ma cigarette est à peine consumée lorsque je la reprends pour la terminer, si ça se n’est pas du service express je ne m’y connais plus en matière de vélocité….Mais bon, laissons mon con…joint de côté pour le moment et retrouvons ma chérie qui fait la conversation ou plutôt qui tient un monologue( elle faisait des études pour être avocate, ceci explique cela n’est-ce pas!!!) Tenez vous bien car voici pour vous la copie de l’intégralité du monologue tel que je l’ai retranscrit à l’époque, et ma mémoire était éléphantesque à ce moment là…j’étais capable de vous réciter trois page d’un livre prit au hasard juste après les avoir lues ou entendues lire, c’st vous dire la véracité des faits que je m’apprête à vous révéler:

Ma chérie: « Alors bébé, raconte un peu, toujours avec ton crétin de peine à jouir? Tu n’as pas encore trouvé le moyen de t’en débarrasser définitivement ou tu attends patiemment que je sois diplômée pour être ma première grande affaire? Si tu veux mon délice je ferai pour toi les recherches nécessaires pour que tu ne sois pas condamnée mais au contraire décorée de la légion d’honneur et de la médaille du courage et si je m’y prends bien même que je pourrai te faire avoir celle du mérite pour avoir rendu service à l’humanité, car tu le sait comme l’a dit je ne sais plus qui juste après la libération des juifs après la guerre, qui sauve un homme sauve le monde, en l’occurrence pour toi ça serait qui tue son connard de mari sauve la féminité toute entière chérie…Ah fais moi penser amour à te donner ton cadeau…Tu manges pas mon cœur ça ne te plait pas? Tu es malade? Oh mais non, que je suis sotte, pardonnes moi bébé, j’ai complètement oublié que tu n’aimais pas les légumes, remarque bien que je te comprends vu cette maxime que tu aimes me répéter( là elle faisait référence aux lapins!!!), ce n’est pas grave mon cœur tu n’as qu’à les laisser…Ah au fait, retires moi ta culotte et passes la moi par-dessus la table quand je te la demanderai mais tu me la passeras en la tenant à deux doigts ok…Tu veux un peu d’eau chérie? …

Bref, tout ça avait été débité à une vitesse infernale, et j’étais là la fourchette à la main à l’écouter parler, je souriais bêtement heureuse d’être avec elle tout simplement…Retirer ma culotte…? Où ?quand? Pourquoi? Je présume que c’est mon air étonné qui lui fit dire ceci

« ben quoi chérie, c’est notre anniversaire, tu ne va pas me faire le coup de la pucelle effarouchée quand même…Puis je veux mon cadeau moi mon cœur, et c’est moi qui choisis ce que je veux, tu n’es pas d’accord? »

« Si mon ange…mais… »

« Quoi mais chérie? »

« Où veux tu que je la retire à part aux toilettes mon ange…tu as vu tout ce monde que je vais déranger rien que pour me faufiler entre les tables pour m’y rendre amour? »

« Ah…oui je n’avais pas pensé à ça…Voilà qui est embêtant pour moi…Comment résoudre ce problème…Laisses moi réfléchir bébé deux secondes…Ah ben voilà, tu n’as qu’à la retirer ici sur ta chaise c’est pas si compliqué que cela! »

« Sur ma chaise? Là devant tout ce monde?…Mais enfin tu n’y songe pas quand même XXX… » Quand je l’appelait par son prénom généralement cela impliquait nettement mon désaccord avec son idée…généralement j’ai dis…Parce que pour me convaincre d’obéir elle posa sur la table une cravache d’équitation et me dit…

« « Au fait je t’ai pas dis mais nous passons la nuit ici, l’autre tête de con est au courant que tu ne rentreras pas je lui ai dit au téléphone que nous ferions la tournée des boites…Toute la nuit ensembles bébé…Imagine… » et ce faisant, elle triturait de ses doigts la cravache qui me semblait être une menace de correction autrement plus douloureuse qu’une bonne fessée même appliquée sévèrement….

Et bien oui devant la trouille que me fichait cette cravache j’ai cédé…Je me suis légèrement relevée et j’ai fais glisser mon slip jusqu’à mi cuisses avant de me rassoir et de continuer à lui faire longer mes jambes gainées de mes bas noirs…Je me suis baissée prétendant ramasser ma serviette lorsque s’est jetée sur moi l’hôtesse pour m’aider…D’où elle sortait celle là et pourquoi était-elle si proche de notre table pile au moment ou il ne le fallait pas,? ça je l’ignorais, mais une chose est certaine, c’est qu’en face de moi ce tenait l’instigatrice de ce petite manège pervers

« Tenez mademoiselle » m’a-t-elle dit en me tendant ma serviette. Rouge de honte et espérant qu’elle n’ai pas remarqué ma culotte sur le sol je la remerciait avec un sourire figé…

« Oh attendez, ceci vous appartient-il également mademoiselle » me demandait-elle avec cette fois mon slip entre les mains…Pas le temps de nier ma belle a bien sûr répondu à ma place…

« Oui c’est à elle…Et bien mon cœur, pourquoi as-tu retiré ta culotte? Tu es trop serrée dedans chérie? Oh toi tu as du prendre du poids non? Et bien qu’est-ce que tu attends pour la reprendre mon ange et remercier la dame hein?

J’étais on ne peux plus honteuse et rouge, mais même avec les larmes aux yeux je ne pouvais pas m’empêcher de trouver la situation excitante et cocasse…Il résonnait en moi la sempiternelle morale de mon mari avec en tête le « tiens toi bien et ne te fais pas remarquer »…Je l’imaginais assister à la scène et devant sa tronche d’abruti ahurit j’éclatais et en larmes de honte et en éclats de rires devant mon imaginaire ô combien trop fertile…Je ne savais plus s’il fallait profiter du moment et en rire ou au contraire s’il fallait fuir pour me cacher et pleurer…j’ai opté pour la 1ière option et je regardais droit dans les yeux l’hôtesse pour la remercier de me rendre ma culotte et j’ajoutais vicieusement en regardant ma belle:

«  non du tout bébé, mais j’ai pensé que tu aimerai me savoir excitée et toute humide, je voulais juste que tu le constate en touchant mon slip… » cette fois ci c’est moi qui eu le dernier mot…Enfin presque…parce que….

« monsieur, s’il vous plait, la carte des fromages je vous prie » dit mon bonheur au préposé du chariot à fromages qu’il poussait devant lui…

« Bonsoir mesdames »  nous dit-il à son arrivée, qu’est-ce que je peux vous conseiller et servir?

« Pour moi, celui-ci s’il vous plait » demanda mon bébé en posant exprès le doigts dessus et bien sur la salle chauffée et non climatisée avait fait du fromage en question quelque chose d’immonde qui dégoulinait…Pour un peu il aurait pu se remettre tout seul dans sa boite…Evidemment vu qu’elle avait choisis avec une ferme conviction son sacré fromage elle en eu plein le doigt…A votre avis qu’a-t-elle demander pour s’essuyer? Allez je vous le donne en mille…Mon slip oui…Mais pas n’importe comment non avec classe bien sur parce que mon ange était la très grande classe réincarnée…Elle dit toujours en regardant le serveur

« Dis moi XXX aurais-tu sur toi quelque chose d’humide pour que j’essuie ce doigt ?ma serviette enlèvera le fromage mais pas l’odeur je le crains…Je sais comme tu es très prévoyante sois mignonne et passe le moi s’il te plait… »

La petite garce, elle voulait avoir le dernier mot et m’humilier d’avantage d’avoir eu le cran d’assumer devant l’hôtesse le fait que je ne porte plus de culotte…Assumer cela devant une femme je voulais bien, mais là, elle poussait un peu loin…Et devant mon manque de réactivité elle me dit

« oh au fait, je ne t’ai pas dis que je m’étais mise à l’équitation? Regarde je viens même de m’offrir cette superbe cravache, qu’en penses-tu? »

La menace était on ne peut plus être claire et sérieuse…Ce mec qui était toujours là m’agaçait furieusement et il ne me vint pas à l’esprit qu’il attendait simplement que je lui dise ce que je souhaitais prendre…Quel con, il ignorait donc que je ne mange pas de produits laitiers? Mais oui qu’il l’ignorait …Comment aurait-il pu le deviner d’ailleurs ce n’était pas inscrit en lettre d’or sur mon front non plus….J’étais prête à l’envoyer au diable quand une voix un peu plus ferme se fit entendre toute proche:

« alors…tu me le donne ce truc humide ou pas, ça pue ce truc, zut dépêche un peu… »

Pas d’autre choix que de m’exécuter sur le champ…La cravache était posée intentionnellement sur le bord de mon assiette…Je baissais la tête, fermais mes yeux, pris une profonde inspiration et lui tendis en la tenant à deux doigts comme exigé ma culotte….Elle s’en saisie et dit alors

«  Oh dis donc, qu’est-ce qui t’arrive bon sang? C’est ta culotte que tu viens de me donner…Oui j’en conviens, elle est humide, mais pour me laver le doigt je ne sais pas si c’est très hygiénique… Excusez là monsieur, D’habitude elle n’est pas comme ça, j’ai honte, mon dieu que j’ai honte…non vraiment, il y a des fois ou je me demande bien ce que tu as dans la tête tu sais… »

Et le serveur qui ouvrait des yeux aussi grand que l’étaient nos assiettes…Il n’en revenait pas, et je suis certaine que cela devait être pour lui la 1ière fois qu’il assistait à ce genre de scène…il était je crois me souvenir aussi rouge si ce n’est plus que moi…Elle l’avait figé sur place…Il était comme pétrifié et pour le faire redescendre sur terre ma déesse du faire tomber sa fourchette sur le sol…Sauf qu’avant d’agir, profitant du moment de gêne de l’une et de l’autre, de son pieds adroitement sous la table elle avait fait relever le devant de ma jupe haut sur mes cuisse et d’un coup sec et ferme m’avait obligée à les tenir aussi écartées que possible, geste que je fis sans même me rendre compte tant il était naturel pour moi de me tenir ainsi en sa présence. Le serveur revint quelques secondes avec nous, pour entendre

« Excusez moi, ma fourchette est tombée, auriez vous la délicatesse de la ramasser et de m’en chercher une propre s’il vous plait jeune homme »…Elle minaudait devant lui et ça commençait sérieusement à m’énerver d’autant qu’il ne l’avait pas lâchée des yeux…

« Mais certainement Madame… » et ce faisant il joignit le geste à la parole et se baissa pour ramasser l’objet que la miss n’avait pas manqué de faire glisser juste devant plutôt entre mes pieds, ce qui l’amenait à se retrouver le nez à quelques centimètres de mon sexe dépourvu de toute pilosité et ma foi honte à moi de vous l’vouer, quand même bien luisant de mouille…Plus de 30 secondes pour ramasser une putain d fourchette c’est long, trop long, aussi gênée qu’il ne me voit ainsi je tentais de refermer les cuisses mais la main de mon égérie se posa sur la mienne et en me fixant intensément de ses yeux magnifiques elle me fit un non de la tête…Pour sur elle me connaissait parfaitement et sur le bout des doigts qui plus est…Elle posa son index sur ses lèvres fermées et me fit un « chuuut » des plus expressif…L’autre se releva enfin, se cogna à la table au passage puis brandit triomphalement la fourchette en disant

« Ca y est je l’ai…je reviens de suite mesdames »…

« Ca va, calmez vous ce n’est qu’une fourchette et pas le grand prix de Roland Garros non plus…Oh et puis zut, laissez tomber la fourchette, nous allons dédaigner ce fromage pour nous réserver pour le dessert…N’Est-ce pas bébé? »

« Oui…Absolument! » répondis-je la tête baisse toujours rouge pivoine de honte…Commander un dessert dans ce restaurant voulait dire qu’il fallait attendre au moins une bonne demie heure supplémentaire et je craignais déjà la suite du programme que mon délice plein de vices m’avait concocté…Je sentis se glisser quelque chose d’étrange entre mes cuisses à la recherche de ma chatte…Je regardais sur la table et constatais avec stupeur que la cravache n’était plus à sa place…Je regardais alors mon ange pour muettement lui posé la question…

« Tu sais mon cœur, ce qui te corrige peut t’apporter beaucoup de plaisir tout comme ce qui t’apporte beaucoup de plaisir peut tout aussi bien te faire très mal , tu me suis là? »

« Oui amour, je crois que je comprends ce que tu essaies de me dire »…J’avais entre les cuisses légèrement insérée dans ma fente la dite cravache…

« Tu es trop loin de la table, rapproches toi de suite je te prie »

Voilà nous y étions, le ton sec ferme et très autoritaire avec lequel ma Maitresse m’avait ordonné de me rapprocher de la table ne sous entendait aucunement que l’une ou l’autre se permette de reculer et faire marche arrière…Le jeu de Domination/soumission venait de commencer et il ne s’arrêterait qu’au lever du jour lorsque ma Maitresse vénérée se lèverait pour reprendre sa route…Docilement j’exécutais son ordre sur la seconde…Je rapprochais autant que je pu ma chaise de la table, jusqu’à m’en trouver comprimée contre elle et d’instinct je ré -écartais aussi grand que possible mes cuisses pour que ma Maitresse explore tout à loisir de sa cravache ma chatte et sonde la profondeur de mon intimité et l’abondance de ma mouille…

« Petite salope, je vais te donner envie de jouir, tu pourras te laisser aller quand je te le dirai, mais je ne veux entendre aucun son pas le moindre gémissement ni le plus petit cri tant que tu n’auras pas reçu l’ordre de jouir, as-tu compris garce? »

« Oui Maitresse, j’ai bien compris votre demande et m’y conformerai au mieux » lui soufflais-je doucement déjà étrangement haletante sous la manipulation adroite que Maitresse faisait de sa cravache…
Vous constaterez comme moi, que nous étions déjà bien installées dans notre rôle de prédilection, et que ma foi nous avancions pas à pas doucement vers ce que nous espérions être de la connaissance …

Le simple fait même que notre langage avait pris une autre tournure prouvait notre acheminement certes encore bien incomplet mais pour le moment amplement suffisant pour nos plaisirs mutuels…Elle aimait dominer les femmes, et j’adorais l’être intégralement par elle uniquement.

Ma respiration commença à se faire plus saccadée, mon cœur battait plus vite, j’avais subitement chaud partout et surtout dans le bas ventre. Mon sexe se contractait au rythmes des allers retours de la cravache plus ou moins profondément inséré en lui ou au toucher de mon petit clitoris gonflé et dur…Ma Maitresse ne me lâchait plus du regard et je me devait de l’affronter, de ne surtout pas fermer les yeux pour que ma tête ne trahisse pas mon corps…Je réprimais difficilement mes gémissements, me pinçais fortement les lèvres afin qu’elles restent bien hermétiquement closes, hors de question pour moi que ma Maitresse ai honte de moi et à cause de moi devant tout le monde … Si cela était, dieu que la correction serait cruelle. Je savais de quoi elle était capable quand elle se retrouvait mise en avant lorsqu’elle se le refusait…Ses accès de colères pouvaient se révéler être très rageurs voire certainement dangereux si elle atteignait le point ou elle ne contrôlait plus rien. Ma divine déesse aimait tout maitriser, et elle ne m’a laissé que quelques très rares occasions de la soumettre, pas plus de 3 ou 4 fois durant tout le temps que fut notre liaison…Elle n’aimait pas s’abandonner entièrement sans être certaine de contrôler au moins le plaisir qu’elle prenait, ce qui me convenait parfaitement…je n’aimais pas plus que cela être sa dominante, seuls les plaisirs que je pouvais lui procurer me plaisaient dans cette situation ou c’est moi qui la soumettait à mes envies…Je n’ai jamais été je crois une bonne dominatrice auprès d’elle, et elle l’avait parfaitement ressentit avant même que j’en eu moi-même conscience.

Je me souviens du jour ou elle m’écrivit ceci:

Mon p’tit délice,

Ne sois jamais la dominante d’un homme, soit celle des femmes, avec moi tu n’y arrives pas parce que nous nous connaissons trop, tu connais une partie de mon vécut et tu as pour moi trop d’amour pour parvenir à faire de moi ce que tu aimerai ,mais je sais mon amour qu’avec une autre qui te serait parfaitement inconnue tu te révélerait être excellente…Tu as en toi suffisamment de vices, d’envies et de fantasmes pour qu’il en soit autrement…Je suis consciente que tant que nous nous aimerons comme nous nous aimons avec cette même sincérité, cette profonde intensité tu seras brimée dans ce rôle parce que tu t’ai imposé des limites avec moi…Je ne veux pas te forcer à être ce que tu n’aime pas être avec moi, mais je te fais la promesse mon doux amour que je te ferai connaitre les joies de la domination féminine…Bientôt bébé, très bientôt je ferai de toi une Maitresse qui excellera dans son domaine et tu aimeras cela parce que je le sais chérie, parce que je te connais bien d’avantage que toi…Mais pour le moment soit toi, simplement toi avec moi, et aimes moi passionnément quand tu deviens ma petite garce, celle que j’aime par-dessus tout…Ton amour ta XXXX….

Enfin bref, revenons en donc à notre cravache qui œuvrait avec dextérité en moi…En plus de réprimer avec difficulté tous mes gémissements, de respirer de plus en plus vite et’ avoir de plus en plus chaud, voilà que ma vue se brouillait et que j’étais comme ailleurs, je ne percevais quasiment plus aucun son autour de moi…J’étais infiniment excitée, cruellement mise à l’épreuve mais bonté divine qu’est-ce que j’aimais cela…J’avais tant serré les lèvres que je m’en suis fait très mal, et à force de me retenir une larme de douleur roula sur ma joue tandis que je fixait ma Maitresse avec la même adoration qu’elle avait pour moi à cet instant. La cravache se retira de mon antre bouillonnant, me laissant quelques secondes de répits, Maitresse discrètement la scruta et me dit

« ah très bien ma petite garce, tu mouilles exactement comme j’aime, nous allons donc passer ce satané dessert et allons rejoindre notre chambre pour passer à la vitesse supérieure… ». là-dessus elle héla l’hôtesse d’accueil réclama l’addition et la clé de la chambre 431...très promptement l’hôtesse revint avec ce que ma déesse avait demandé, cela dit elle n’était pas de celle à qui une femme se serait aventurée à lui refuser quoique ce soit, de gré ou de force ma douce obtenait pratiquement toujours ce qu’elle convoitait. Pendant que mon amour réglait l’addition, nos manteaux nous furent rendus, mais étonnamment je n’eu pas la permission de remettre le mien…

« Non…Inutile de remettre ton imper ce n’est que la porte d’à côté…Laisses le donc pendre sur tes mains et sortons d’ici il est déjà presque 22h30...Passe devant je te prie, et en avant… »

Je la précédais donc et faisait le chemin dans le sens inverse…Arrivée au milieu du restaurant, là où le plus de monde se trouve en général, je sentis un courant d’air froid sur mes fesses et une violente claque s’abattre dessus …je n’en revenais pas…Elle avait osé devant tout le monde me mettre le cul à l’air et me claquer …Quel étrange manière elle avait de se comporter ce soir là….Suffisamment fort sans être hurlé non plus elle dit « Allez, viens donc que je m’occupe de tout ça va!… » C’est avec une honte encore jamais jusque là ressentie, et d’ailleurs jamais plus éprouvée que je sortis de la salle aussi vite que possible pour rejoindre l’hôtel juste à côté non sans avoir rapidement remarqué le coup d’œil que ma déesse et la réceptionniste se firent…Mon bébé d’amour me rejoignit devant la porte de l’hôtel, la franchit après avoir attendu que je la lui ouvre, passa devant moi pour me montrer le chemin. Nous prîmes l’ascenseur jusqu’au 4ième étage puis nous longèrent un long couloir moquetté de rouge et noir, et nous arrivâmes devant la porte de la chambre 431, ma déesse

Se retourna et me demanda avant d’ouvrir:

« Alors, prête pour fêter notre 20ième année comme il faut bébé? Tu peux encore faire demi tour mais dès que cette porte sera ouverte il sera trop tard tu ne pourra plus rien me refuser … »

Je fis front et répondis du tac au tac:

« Oui…Prête Maitresse à vous suivre où vous irez »

« Très bien, dans ce cas, allons y mon ange, viens me donner ce que j’attends de toi… » Ma tendre ondine à ouvert la porte, m’a gentiment poussée à l’intérieur et doucement, prenant grand soin de prendre tout son temps pour mieux m’impressionner elle la referma, se retourna pour s’appuyer dessus et me fixer en me tendant sa cravache…

« Tiens garce, nettoie donc ça en attendant que je revienne de la salle de bain… »

Elle entra dans la salle de bain me laissant là seule pour nettoyer avec ma bouche le bout de la cravache souillé de ma mouille qui avait séchée…

A SUIVRE……

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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