Vendredi 23 juillet 5 23 /07 /Juil 08:52

lesbienne6Hier après midi, après ma séance avec Monsieur, tandis que je lui confiais mon ressentis à chaud, j’appris entre autres diverses petites choses que Monsieur comptait me faire jouir avec sa langue…Aie, lui répondis-je, cela va être un problème de taille Monsieur, car jamais oh grand jamais aucun homme n’avait relevé ce défis avec succès. Monsieur est convaincu de sa réussite, et bien soit, nous nous sommes lancé un pari:

Si après 45 minutes maximum( ca peut être avant, mais ne saurait être après ce laps de temps) Monsieur me fait jouir, je me plierai absolument à tous ces fantasmes aussi inavouables soient-ils durant le temps de son séjour dans sa famille…Par contre, l’inverse me permettra de satisfaire pleinement et autant de fois que je le voudrai durant une petite heure, mes cinq sens privés depuis plus de 15 ans de la moindre sensation…

Caresser Maitre, le toucher, le sentir le gouter, l’entendre…et le regarder prendre du plaisir à être entre mes mains, quel plaisir cela va être pour la chienne de Maitre…Au final je me demande comment je me sentirai lors de son départ…Physiquement parlant j’en ai bien une vague idée, je vais être lessivée, courbaturée, tous mes orifices comblés mais en effervescences, voire en feu…Mais psychologiquement parlant? Serais-je soumise accomplie pour Maitre ou me sentirais-je avoir été traitée comme une reine tant Maitre va me combler de plaisirs de toutes sortes? Pour sur, je serai de toute façon heureuse et fière d’avoir appartenue à Maitre, d’avoir été sa chienne personnelle durant ce laps de temps, et j’espère me montrer digne de la confiance que Maitre m’accorde, j’espère mériter ses râles de plaisir et ses gémissements….Que je jouisse n’a aucune espèce d’importance pour moi, il n’est même pas besoin de me posséder pour que ma jouissance soit presque plus intense qu’en étant prise où que ce soit…Maitre n’a besoin de rien faire d’autre que de me faire savoir combien il apprécie mes caresses, combien il aime ma bouche pour qu’en bonne chienne je sois capable de jouir…Cela me fait penser d’ailleurs à une petite anecdote similaire….

 

Ma tendresse et moi étions déjà installées dans nos foyer conjugaux respectifs( oui elle aussi avait un homme, mais moins con que le mien…)depuis déjà quelques années mais cela ne nous empêchaient pas de nous retrouver à la moindre opportunité qui s’offrait à nous. L’ex mari de ma déesse avait immédiatement accepté notre couple si fusionnel sans émettre la moindre condition ni réserves…Jamais il ne s’est même permis d’interférer entre nous. Du moment que ma douce lui disait ouvertement les chose il n’y avait pour lui aucun soucis particulier…Encore qu’il ignorait que parfois mon insatiable petit ange avait grand besoin d’un voire deux hommes en même temps…

 « Je n’y peux rien mon délice, je suis comme ça, et impossible de me retenir… » s’excusait-elle souvent auprès de moi. En ce qui me concernais, j’avais depuis tout ce temps appris à maitriser ma jalousie maladive à son égard et ne donnait pas plus d’importance que cela à ses petites aventures sexuelles sans réels lendemain…Dès le lever du jour elle avait déjà fuit le lieu des délits les laissant là se retrouver seuls au réveil…j’imagine que beaucoup d’entres-eux n’ont toujours pas compris aujourd’hui mais bon, ils s’y sont fait c’est l’essentiel…Et puis ce qui m’importais réellement c’est que c’était toujours vers moi que ma tendre déesse revenait…Que vouloir de plus? C’est vrai, je l’ai ramassée dans des états lamentables, mais qui aurais-je été si je l’avais repoussée parce qu’elle était quelques fois trop ivre ou trop secouée de sanglots…Cette chienne de vie l’avait tellement brutalisée que seul quelqu’un de sans cœur aurait pu rester insensible à ses détresses si profondes…..

Donc assises à la terrasse d’un café, ma belle me racontait ses dernières frasques et louait carrément l’homme avec lequel elle venait de passer la nuit pour ce magistral cuni que celui-ci lui avait prodigué…Selon elle, elle n’avait jusque là jamais jouie de cette façon avec la langue d’un homme car comme moi pour ces petites délicatesses elle préférait de loin la gente féminine un tant soit peu plus douce et tendre… Je l’écoutais très attentivement avide de détails croustillants et me surpris à l’envier car contrairement à elle, jamais un homme aussi doué fut-il n’était parvenu à me faire jouir de la sorte…Non, mon corps ne s’abandonnait complètement qu’avec mon amour de toujours…Je n’y pouvait rien ,j’avais beau me laisser aller, penser à des choses porno, rien, je restais de marbre et trouvais invariablement le temps long…Par contre j’avoue aisément sans honte que dès lors que ce monsieur s’occupait de l’abricot doré de mon bébé d’amour, là je ressentais une excitation sans pareille, que je me masturbais doucement, ou au contraire rapidement suivant le rythme des gémissement de ma déesse et explosais de plaisir dès qu’elle se lâchait complètement…la voir rejeter sa tête en arrière, les yeux fermés la bouche entre ouverte était un spectacle dont je ne me lassais jamais. Dieu que ma reine était belle lorsqu’elle jouissais de manière si impudique et son plaisir multipliait le mien….Ma princesse du très certainement lire dans mon regard quelque chose car elle me dit:

« Mais j’y pense mon cœur, toi tu ne sais pas ce qu’est de jouir dans la bouche d’un mec…Si tu as réussis finalement? Non qu’est-ce que je suis conne, ce n’est pas avec ton lapin russe que tu y es arrivé, et comme je connais ta fidélité, aucune chance pour qu’avec quelqu’un d’autre que moi ai pu tenter sa chance hein??? »

Elle avait absolument raison sur tous les points…Et j’en ressentais comme une honte d’avoir cette tare en moi…Impossibilité de jouir avec la langue d’un homme…Voilà qui fait brouillon sur le curriculum vitae d’une soumise n’est-ce pas? Je me suis toujours considérée comme anormale de ce côté-là…Perdue dans mes sombres pensées tout ce que je compris du reste du dialogue fut:

« ….si vas-y mon cœur, choisis celui que tu veux, je me charge du reste… »

« Hein…Choisis quoi ? Qui? Qu’est-ce que tu racontes mon bonheur? »

« Je te dis de choisir n’importe quel homme qui passe et qui te plait ensuite je me charge du reste pour toi, alors bouge un peu on a pas toute la nuit… »

Je ne voyais toujours pas ou elle souhaitais en venir alors distraitement j’ai du dire « tiens lui… » Il était grand, brun, c’est tout ce dont je me souviens de lui, le reste ne m’a pas particulièrement touchée pour me laisser un impérissable souvenir…

Mon amour a dit ok, elle s’est levée pour marcher en direction de cet homme en chaloupant comme une pute qui voulait son client coûte que coûte, puis elle s’assis sur la chaise en face de lui…un dialogue que je n’ai pas entendu s’est instauré, elle draguait devant moi sans complexes, elle riait à ses plaisanteries qu’elle pensait débiles de toutes façons, lui posait sa délicate main sur le bras, et avant d’avoir pu dire ouf je la vis revenir vers moi pour me dire

« Ok bébé, il est d’accord, on monte toutes les deux avec je paie l’hôtel et on se fait ça.. »

« Chérie, on se fait quoi s’il te plait? J’ai manqué quelque chose je crois…Tu m’explique un peu s’il te plait? »

En soupirant bruyamment (signe d’impatience) elle me réexpliqua son objectif…Il s’agissait de laisser à ce jeune homme la chance de me faire grimper aux rideaux avec sa langue uniquement…S’il y arrivait, elle lui donnait 500 francs et il repartait comme il était venu avec en plus de l’argent la fierté égoïste d’avoir réussi à faire jouir une gouine…J’étais comme presque vexée, mais piquée au vif tout de même, curieuse après tout de savoir si moi aussi je pouvais…Cependant j’hésitais par principe seulement à dire oui trop rapidement pour ne pas devoir le payer chairement (la faute est exprès) dans un futur probablement immédiat après le départ de ce mec…Et devant ma feinte hésitation elle fit celle de se mettre en colère…Nous étions dans le jeu, nous y avions glissé tout naturellement…

« Bon ok, je veux bien mais lui a quelque chose s’il gagne, mais moi, s’il perds qu’est-ce que j’ai en échange hein? » lui dis-je calmement…

« je ne sais pas moi…Qu’est-ce que tu aimerai avoir dis moi? »

« Toi seulement toi durant une semaine entière, obligée de te laisser faire pour tout ce que je voudrai faire avec toi…J’ai dis tout bébé, absolument tout…Tu prends ou tu laisse? » Dis comme ça j’étais parfaitement consciente que cela ressemblait à un défi pour elle et elle ne supportait pas devoir reculer devant un aussi infime fut-il…Perdre n’était pas une option envisageable pour ma déesse…Là je ne prenais pas de gros risque, si elle perdait, que je ne jouissais pas, c’est sur l’autre qu’elle passerait sa colère, cet autre incapable vantard…

« Marché conclut mon délice, mais tu lui laisse tout de même au moins 45 minutes, et tu ne te retiens pas du tout, tu imagineras même que c’est moi entre tes cuisses, comme ça d’accord je prends sinon quedal chérie »

Elle était dure en affaire n’est-ce pas? J’allais devoir supporter 45 minutes une langue sur ma chatte…Quelle aberration pensais-je en me levant pour partir avec elle rejoindre le mec qui s’impatientait un peu….Nous choisirent un petit bar hôtel tout près de là, elle paya la chambre et sous les yeux médusés de la gérante nous sommes monté tous les 3...Elle riait, lui était aux anges, et moi je flippais grave….

La chambre sans être très luxueuse était coquette et bien tenue…Simple mais propre et comble du bonheur disposait même de sa propre salle de bain….Au moins nous pourrons toujours nous amuser sous la douche après le départ de l’autre me disais-je en souriant béatement….En bien moins de temps qu’il ne le faut pour le dire lui était déjà à poil , étendu sur le lit le membre raide d’excitation…Bof pas de quoi être aussi excité non plus me fit remarquer ma douce…Puis histoire de mettre tout le monde bien à l’aise elle cru bon d’ajouter:

« eh ben mon garçon….Tu vois mon ange, pas de quoi t’affoler, il a pas grand-chose à offrir, j’espère que sa langue travaillera pour compenser ce qui lui manque…Et elle lui fit son plus beau sourire pendant que rouge de honte je cherchais désespérément un moyen de me sortir de ce guêpier…Ma déesse s’approcha de moi, m’embrassa fougueusement sur la bouche, inséra sa langue dans celle-ci à la recherche de la mienne qui de toute façon m’avait trahie en répondant avec la même fougue à l’appel de ses sens….Mutuellement nous nous sommes déshabillée, j’étais tellement bien contre elle à la sentir que j’en avais oublié ce dont pourquoi nous étions là elle et moi…Sa main caressait gentiment ma chatte, ses doigts s’inséraient avec tendresse dans la fente, elle caressa très lentement mon clito, et quand elle me sentis presque sur le point de jouir elle cessa toute activité et m’entraina vers le lit sur lequel elle me força sans brutalité à m’allonger, me couvrant de caresses et de baisers partout elle arriva jusqu’à mon entre cuisse qu’elle força avec douceur. Sous la chaleur de ses baisers et caresses je me suis ouverte sans résistance et commençais même à me laisser aller au plaisir qui montait doucement mais surement…Dieu que c’était bon de l’avoir entre mes cuisses en feu…Comme c’était divin quand sa langue chaude et douce me happait le clito ou passait simplement dessus…Elle léchais ma mouille avec adresse en émettant de petits gémissement sourds qui avaient cette particularité d’être très excitant…Je commençais à me tortiller dans tous les sens, lui demandant de ne pas me faire jouir de suite, la suppliant de faire durer ce plaisir…Subitement un léger coup de frais se fit ressentir sur ma chatte…le mouvement et le rythme avaient changé…Tout mon corps s’est figé net… J’étais devenue raide comme du bois…crispée à m’en faire des crampes…Je ne comprenais pas ou plus ce qui m’arrivais…la chaleur de mon bas ventre se dissipait à grande vitesse, mon entre jambe s’assécha comme une flaque d’eau au soleil, en quelques secondes ce fut le désert saharien…Je ne ressentais plus aucun plaisir, plus aucune envie de jouir…Je tentais d’ouvrir les yeux mais ma déesse m’en empêcha et se mit à me chuchoter des petits mots rassurants et excitant à la fois…En général il ne me fallait que le mot garce et je démarrais au quart de tour, là rien…Plus j’essayais de rester sur ce qu’elle me disait plus le contact de cette langue entre mes jambes était désagréable…Je voulais pourtant tellement y arriver moi aussi, alors pourquoi ce blocage? C’est après s’être acharné durant près d’une heure que ce pauvre garçon déclara forfait…Selon lui inutile d’aller lus loin, ce n’était pas un homme ou une femme qu’il me fallait mais un chien ou un cheval…Sympa le mec vexé hein? Devant l’insulte ma belle ne perdit pas son sang froid, au contraire elle minauda auprès de lui, puis elle lui dit

« Ce n’est pourtant pas bien difficile tu sais, regarde je vais te montrer comment faire, la prochaine fois avec une femme tu seras moins con… » Et elle remit sa tête entre mes jambes pour me dévorer la chatte goulument, avec une telle impatience qu’en moins de trente seconde je hurlais ma jouissance et lâchais de grand jets de cyprine odorante….Mon bébé s’appliqua à ne rien laisser perdre de ma jute, se releva et embrassa à pleine bouche ce crétin qui était figé…Je vis couler de la bouche de ma reine un flot de ma jute qui alla droit dans celle du mec…Il eu un recul mais il ne savait pas encore à qui il avait à faire…Elle se plaqua contre lui, la main sur la nuque pour empêcher toute tentative de rébellion et qu’il le veuille ou pas, il avalait ma jouissance mêlée à la salive de ma princesse…Quand elle pensa que cela était suffisant elle le repoussa assez fort et avec un certain dédain elle prit dans son sac son porte monnaie , lui tendit 5 billet de 100 francs…Tiens crétin, prends ca ramasse, tes affaires et ta petite queue et repars chez maman, tu as ton goûter à prendre… »

Comme vous qui me lisez je reconnais qu’elle y était allé fort ce coup ci, elle était imprudente, ce mec aurait très bien pu se montrer violent avec nous…Sur le moment le côté danger ne nous avait pas effleuré une demie seconde…Il a fait exactement ce que ma divine attendait de lui: se casser et nous laisser seules…Enfin!!!!

Elle avait perdu son challenge et j’en était très peinée pour elle ,aussi dans le soucis de ne pas en rajouter j’eu la « victoire » modeste , et lui dis aussi amoureusement qu’elle m’avait embrassée que j’attendrai qu’elle se sente prête pour faire absolument tout ce que je voulais d’elle, pour tout obtenir d’elle y compris la chute de son obsession à tout vouloir contrôler dans sa jouissance….Elle pleurait sans bruit, je savais que j’avais une fois de plus atteint quelque chose de difficile pour elle…Je l’ai entourée de mes bras et l’ai allongée sur le lit en lui disant

« Maitresse, honorez moi de votre nectar je vous prie, votre garce a grand soif de votre jouissance »

Elle me sourit à travers ses larmes, écarta ses longues jambes et me laissa lui faire l’amour avec tendresse et amour…. Mais ça c’est encore une autre histoire….

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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Jeudi 22 juillet 4 22 /07 /Juil 15:23

Que grâce soit grâce soit rendu à Monsieur pour cette excellente journée qui commence pour la chienne que je suis, et qui dès à présent, en position d’asservissement tient à votre entière disposition les trois orifices dont vous êtes seul et unique propriétaire et desquels vous usez et abusez comme bon vous semble selon vos envies.

 

Mes respects Maitre,

 

Bonjour Monsieur,

 

Pour être en parfaite conformité avec les exigences requises, voici pour vous le compte rendu d’hier, 21/07/10, rédigé à votre attention et pour votre plus grande satisfaction personnelle, je l’espère, à 2h00 ce matin.

 

Hier matin je vous avouais ne pas avoir pu effectuer mes servitudes car j’avais à la maison ma petite filleule et qu’il m’était bien difficile de m’y adonner, mais que j’avais quand même le Plug en place, et que toujours pour des raisons de discrétions, le gode avait été remplacé par des boules de geisha qui me produisait un effet d’excitation très intense, mais n’osais vous avouer mon envie de jouir…Monsieur est on ne peux plus intuitif avec sa chienne, car très vite vous avez demandé s’il m’étais possible de vous appeler car vous consentiez à me faire avoir un bel orgasme…Déçue temporairement je ne pu répondre favorablement à votre requête mais vous apprenais que je possédais grâce à ma faculté cérébrale suffisamment d’expérience pour pouvoir jouir sans que personne ne puisse rien voir et/ou entendre…Ce fut là pour Monsieur un bien beau défi que vous reconnaissiez être des plus excitant…Vous avez trouvé exactement ce qu’il fallait me dire pour que j’accepte le challenge. pour informations personnelle Monsieur, il m’est souvent arrivé de me masturber tout près de « il » alors qu’il regardait la télévision allongé à mes côtés sans que celui-ci ne capte quoi que ce soit et j’ajouterai également que ce n’était que par pure nécessité que je m’adonnais à cette rare pratique afin de combler quelques impératifs hormonaux…Notre dialogue a doucement démarré sur un ton dit badin, puis au fur et à mesure il est passé à la vitesse supérieur. Je dandinais sur mon Plug et contractais violemment les muscles de mon vagin pour ressentir tous les bienfaits de mes boules logées très haut dans celui-ci, ce qui inévitablement me faisait mouiller très fort, et était pour votre chienne très excitant…J’ai à ce sujet béni l’inventeur de ces délicieuses petites choses…Bref, c’est du Maitre dont je me sentais être bien remplie et j’en savourai chaque seconde. Comme pour vendredi matin, tout s’est brusquement emballé, surtout lorsque Monsieur me fit savoir combien son membre était bien dur et bien gros. Vous procurer cette excitation est plus qu’il ne m’en faut d’ailleurs pour que très rapidement je me mette à saliver, à frémir et à bouillonner de l’intérieur. Je vous demandais quelques mots crus, quelques humiliations pour me faire bien ressentir où était ma véritable place de chienne obéissante et servile. Ah ça je ne peux pas prétendre que Maitre ignore comment stimuler mon imagination, car vous m’avez généreusement offert tout ce dont j’avais viscéralement besoin d’entendre pour que mes mots deviennent presque illisibles sur le clavier tant la chaleur de mon corps était dévorante. Je sentais avec délice cette jouissance monter et ne plus s’arrêter. Une nouvelle fois comme vendredi matin votre salope a très longuement et à plusieurs reprises jouie en gardant tout de même à l’esprit que je ne devais pas émettre le moindre son ni tressaillement qui me trahiraient devant la petite…L’orgasme fut très violent comme je m’y attendais car le défi était réellement de taille et très excitant pour moi….Je n’ai ni su ni pu compter mes orgasmes comme vous l’exigiez, dès le 1er je ne suis plus capable de quoi que ce soit, alors tenir la comptabilité des lâchés de jute avec ma chatte était complètement surréaliste .

Une fois redescendue du 15ième (ce ‘est qu’un minimum) ciel, je vous recontactais pour vous faire part de mon ressentis à chaud, puis devais vous quitter momentanément pour faire prendre la douche à ma filleule, non sans vous promettre de revenir vous voir dès qua la gamine serait récupérée par sa maman…C’est donc aux alentours de 15h15 que je suis revenue en vous suppliant de me permettre de vous appeler au téléphone ne serait-ce que quelques minutes car j’avais grand besoin d’entendre mon Maitre me parler aussi crument que possible, il m’était indispensable également que mon Maitre me dise et redise qui j’étais, où se trouvait ma véritable place. Autorisation accordée, aussi je fermais fenêtres et volets pour tenter de camoufler mes hurlements de plaisir aux voisins tout proches et à tout le village afin de préserver leur cœur car la moyenne d’âge dans notre village se situe entre 60et 65 ans…Aie aie aie pour les peaces-maker….et je composais fébrilement le numéro de Monsieur…Je vous ai dit être assise sur mon Plug anal et que j’avais conservé mes boules pour effectuer quelques minutes avant mes servitudes du jour d’où mon état. Dans un premier temps j’ai du monter et redescendre très vivement sur mon Plug et immédiatement je vous ai ressentis en moi. Oh oui je vous sentais me prendre sans plus vous arrêter aussi je mouillais comme une fontaine. Ainsi j’ai très rapidement joie en hurlant que je voulais que Maitre encule sa chienne avec plus de fermeté et de violence. En criant très fort j’implorai mon Maitre de me faire mal et de me violer chaque orifice. Ce fut un orgasme très dévastateur mais absolument rien en comparaison de celui qui allait suivre quelques instant plus tard…Je vous demandais alors la permission d’échanger le Plug contre mon gode lisse car je voulais être perforée par votre membre. Vous avez consentis cette échange car pour Maitre je devenais plus salope que jamais et plus gourmande sur la taille du membre qui se devait être un marteau piqueur qui me pilonnait. Ce simple retournement de situation, vous a sans doute surpris mais n’était pas pour vous déplaire…Non, mon Maitre aime savoir que ma rondelle exige plus maintenant. Très doucement pour bien sentir la queue de Maitre entrer dans mon petit trou vierge je descendais sans douleur ni crainte d’aucune sorte sur ce gode…C’était tellement bon de sentir Maitre me posséder millimètre après millimètres que très vite l’envie de jouir est revenue. Je demandais donc à mon Maitre de m’aider à me retenir encore quelques instants afin de continuer d’apprécier comme il se doit tous les bienfaits que la queue de Maitre me faisais expérimenter une nouvelle fois…Non je ne souhaitais pas m’abandonner trop hâtivement, je dois apprendre à me retenir de jouir quand l’envie s’en fait ressentir, même si cela y va de ma vie. Je dois apprendre pour Maitre à maitriser mon corps, mon cul ma chatte et mon clito…Vos paroles ont eu sur votre petite pute rien qu’à vous l’effet désiré puisque j’ai pu attendre d’être prête et à bout de force pour enfin solliciter la permission de Maitre pour m’envoyer en l’air très brutalement…Une jouissance que je ne saurai exprimer avec justesse m’a aussitôt votre accord obtenu submergée et tandis que je voyais entre le haut et le bas sur votre queue bien dure, d’une main je me baisais la chatte avec frénésie et trois de mes doigts… « Maitre, je coule de partout, je suis détrempée de jute, ô Maitre que vous êtes bon à m’enculer de la sorte, comme mon Maitre sait comment enculer sa salope rien qu’à lui et pour lui… » et durant tout la durée de cet intense orgasme je claquais violemment mes cuisses pour avoir mal en plus de jouir et sentais mes doigts faire des clapotis avec ma jute…J’espérai fortement que mon Maitre puisse entendre le bruit que faisaient mes doigts en me baisant. Notre conversation téléphonique dura 26 minutes 55 secondes . Les 25 minutes les plus intenses qui soient de toute ma jeune vie de soumise…Ce qui me fais conclure que Monsieur ne se contente pas d’avaler que des légumes pour lapins…..Je vous retrouvais sur MSN pour vous remercier chaleureusement de votre gratitude à mon égard et là Monsieur me dit combien sa pute était pour lui excitante et salope à souhait. Vos compliments me touchèrent profondément et je les pris comme une récompense en échange de ma plus absolue obéissance et voilà qui rendait votre chienne très heureuse et presque fière d’elle. Plus heureuse de vous l’entendre me le dire que Monsieur ne l’était de m’avoir entendu jouir pour lui. Vous m’avez annoncé votre venue pour la seconde semaine du mois d’août sans omettre le descriptif de tout ce que vous envisagez de faire de votre chienne, et je ne sais pourquoi Monsieur s’est mit en tête de vouloir me faire jouir avec sa langue, réussir là où tous les hommes qui ont essayé se sont vu être très vexés par leur échec et mon manque de réactivité sous leurs coups de langue qu’ils espéraient être les mieux appliqués possible. Je vous contais même que ma douce avait eu cette demande, qu’elle m’avait demandé de choisir un homme dont elle se chargerait d’allumer pour que tous les 3 nous montions dans une chambre afin que celui-ci officie courageusement….Seule et uniquement Ma déesse était parvenue à me procurer une jouissance en me dévorant la chatte avec adresse…Donc nous nous sommes, vous et moi lancé un pari: Monsieur disposera de 45 minutes pour m’amener à jouir avec sa langue et si Monsieur y parvient je me plierai à la réalisation de vos fantasmes même les plus inavouables, mais si après ces 45 minutes votre chienne n’a pas jouie, vous consentiriez à n’être qu’à moi durant 1h entière pendant laquelle il me sera permis de vous toucher, de vous sentir et de vous embrasser autant de fois qu’il me plairait de le faire…Aussi j’espère que mon Maitre aime cela car sa petite catin est affamée de son Maitre et compte bien s’en repaitre jusqu’à plus soif….Ainsi le pari a-t-il été validé par Monsieur….Dieu qu’il me tarde d’être à cette deuxieme semaine août….

 

C’est avec humilité que je m’agenouille devant Monsieur pour gage de mon plus profond respect et ainsi placée réclame votre permission pour prendre en bouche votre queue en témoignage de ma profonde reconnaissance et de mon plus complet asservissement.

 

Votre petite catin pour vous seulement qui s’endort heureuse à vos pieds

Chienne soumise Marie (2h45)

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 13:49

soumission30Près de six mois étaient écoulés depuis notre anniversaire et nous n’avions que très peu de contacts, cela m’inquiétais sérieusement d’autant que j’avais quelques difficultés à la joindre au téléphone et que les messages laissés sur le répondeur restaient tous sans réponses. J’avais appelé absolument partout, chez tous ses amis (trop nombreux à mon goûts d’ailleurs) et ni Pierre ni Paul et encore moins Jacques l’avaient vue récemment…Je flippais gravement, j’étais si nerveuse que plus personne n’osait m’approcher de crainte d’être mordu…Ma famille ne me reconnaissait plus…J’étais à la limite de la crise de nerfs ou de l’aliénation mentale. Puis je ne saurai expliquer pourquoi, ou comment, mais dès qu’il s’agissait de ma déesse si je la pensais en danger il se produisait un phénomène étrange chez moi…J’avais la sensation de ressentir le danger, et moi qui d’ordinaire étais plutôt de celles qui fuyait toute espèce d’affrontement, si une seule personne osait ne serait-ce que crier dessus mon bébé, je devenais enragée. Autant si j’étais prise à partie je reculais ou voire même tendais l’autre joue, autant si mon amour était dans l’embarras, là, il n’y avait ni dieu ni diable qui soit capable de m’empêcher de monter au créneau…Je fonçais bille en tête et ne me posais pas la moindre question…Personne, absolument personne n’avait de droit sur elle…Et gare à celui ou celle qui essayait de me mettre au défis, cela se terminait invariablement par un esclandre ou une bagarre que la rage que je ressentais m’a souvent permise de sortir victorieuse de chaque affrontement verbal ou physique…Elle était sous MA protection et je me devais de tout faire pour qu’il ne lui arrive rien, et c’était ainsi du jour ou elle prit sa première trempe par la mère supérieure…Elle je ne l’avais pas loupée…J’avais écopé d’une sévère punition certes, mais la vieille peau de vache en avait eu pour son compte…Cette férocité avec laquelle je la défendais l’étonnait chaque fois d’avantage…Cela dit, elle était arrivée au pensionnat avec tellement de casseroles derrière elle alors qu’elle n’avait pas encore 10ans, son corps avait été tellement supplicié et martyrisé que je n’étais pas autorisée à la prendre en photo de dos de face ou de profil…Seul l’arrière de ses jambes et ses fesses avaient échappés miraculeusement aux diverses perversités de ses alcooliques de parents qui depuis qu’elle avait 3 ans ne se gênaient aucunement à la vendre à leurs amis pour une bouteille…Bref dès 10 ans elle n’ignorait déjà pratiquement plus rien de la sexualité même si elle ne savait pas poser de mots sur les actes…Jouir pour elle c’était trembler de partout…Dans ce cas qui d’un tant soit peu humain ne l’aurait pas prise sous sa protection? Faire l’amour pour elle ce n’était que violences, et c’est ensembles que nous avons expérimenté d’autres façons d’avoir du plaisir…L’amour avec tendresse et sentiments, ça c’était LA découverte du siècle pour nous….Bref, je disais donc que je flippais gravement parce que je la sentais en danger quelque part, mais où? Après avoir appelé ses amis et tous les hôpitaux de France et de Navarre, j’entamais mes recherches dans tous les foyers d’accueil d’urgence, et toutes les gendarmeries au niveau national…J’avais déclenché une alerte rouge à moi toute seule, et y aurait-il fallut que je me déplace à pied pour la rejoindre à Saint PETAOUCHNOK que je l’aurai fait sans hésitation…J’étais très loin d’imaginer que 8 jours après avoir lancé mon alerte rouge, on me téléphonerai pour m’apprendre qu’elle avait été retrouvée en vie mais dans un état épouvantable….Elle avait été hospitalisée et son état faisait l’objet des plus grandes réserves auprès du corps médical…Evidemment je fus soulagée que l’on me l’ai retrouvée, mais l’idée même qu’elle avait salement dégusté me faisait écumer de rage…Je tournais comme un lion en cage me demandant comment me rendre à son chevet dans les plus brefs délais…Pas question que mon mari consente à m’y conduire, cela était bien trop lui demander d’autant qu’il ne pouvait pas la voir…D’ailleurs elle fut sans le savoir, à l’origine de nombreuses volées et scènes de ménages épouvantables parce qu’il se permettait d’émettre contre elle des propos injurieux et c’était les uniques fois ou j’osais me mettre en travers de lui et ou je ne redoutais même pas les coups…A force de les prendre j’avais fini par ne plus les sentir sur l’instant parce qu’ensuite quand la colère de mon mari était retombée et que j’étais quasi comateuse, là je ressentais profondément chaque baffes et coup de poing assénés avec violence et fureur…Avec l’envie meurtrière qui le tenaillait….La cruauté parfois n’a pas de limite, et lui se chargeait bien de me l’apprendre….N’ayant pas fermé l’œil de la nuit, j’étais lessivée, mais ne renonçais sous aucun prétexte à me résigner à attendre que ce soit elle qui vienne à moi…Cela risquait au mieux de ne pas être possible avant des semaines ou des mois, voire au pire plus possible du tout car le plus négatif et horrible des scénarios était toujours à redouter…Si elle mourrait là bas toute seule jamais je ne me le pardonnerai …En pleine nuit alors que ce crétin dormait du sommeil du juste, je me suis enfuie du domicile et ai parcourue au pas de courses les 15 kilomètres qui menaient à la gare de la ville… Au passage j’avais chopé le carnet de chèque en cas de besoin, quelques pièce de monnaie on ne sait jamais et était silencieusement partie.

A la gare, je du attendre l’ouverture du guichet à 7h, et je me demandais si l’autre en se levant aurait la présence d’esprit de venir me chercher là…pourvu que non, pourvu que non que je ne cessais plus de marmonner entre mes dents…Quand le guichet à ouvert enfin, l’employée s’est ramassée une superbe engueulade, 7h ce n’est pas 7h05 et pour moi chaque minutes pour ne pas dire chaque seconde à attendre était autant de temps de perdu …J’ai acheté mon billet de train et suis monté sur le quai…la chance voulue que ce jour là mon train partait pour 7h40...Je me suis installée aussi loin des portes que possible, tirant les rideaux pour ne pas être vue et attendais nerveusement que ce maudit engin veuille bien démarrer….

Je suis arrivée dans une gare et une ville inconnues, paumée, ne sachant même pas où se trouvait l’hôtel le plus proche et bien sur comment me rendre à l’hôpital où se trouvait agonisante ma divine déesse… « Mais oui…Le taxi idiote!!! » me suis-je alors dit…Des taxi aux arrivées de gare ce n’était pas ce qu’il manquait et serait bien le diable si je n’en trouvais pas un qui me mène à bon port…J’en hélais un parmi cent autres, je montais à l’intérieur et ordonna d’être conduite aussi vite que possible au centre hospitalier de B….. Ca j’y suis arrivée rapidement…Tellement que j’aurai pu faire le trajet à pied…J’étais à moins d’un km de la gare…J’ai payé ma course, n’ai même pas attendu que le chauffeur me donne la somme à régler, j’ai signé un chèque en blanc le lui ai tendu et avant qu’il ai dit au revoir ou merci j’avais déjà claqué la porte arrière et m’élançais vers l’entrée principale d’un immense bâtiment moderne vitré avec un hall d’accueil gigantesque…Allez vous y retrouver quand vous ne savez pas comment fonctionne ce genre d’endroit…J’ai avisé un couple d’un certain âge et leur ai demandé de m’aider, ce qui en passant ont fait tout ce qu’ils pouvaient faire si l’on considère que pas un des deux ne parlait français et que mon anglais est des plus approximatif…Mon bébé elle était tellement intelligente et surtout très studieuse dans tout ce qu’elle entreprenait qu’elle parlait 8 langues et avait commencé l’apprentissage du grec avec lequel elle se défendait super bien…J’ai abandonné mes vieux car je ne comprenais pas le tiers de ce qu’ils baragouinaient, puis enfin, l’illumination…En levant un peu les yeux s’éclairait juste au dessus le mot providenciel « accueil ». Quel soulagement….Je demandais les informations nécessaires pour me rendre dans la chambre de mon amour…5ième étage, chambre 548 service réanimation…Je montais les 5 étages à pieds pour prendre le temps de me préparer à voir l’impensable…Plus je montais plus la peur qui m’avait envahie était grandissante…Chaque marche devenait plus angoissante que la précédente…La porte indiquant le 5ième était enfin là, devant moi…Je mis quelques minutes avant de l’ouvrir…Chaque fois que je tentais de poser ma main sur la poignée celle-ci tremblait(ma main, pas la poignée bien sur) et je reculais… Allez courage, elle est là, elle t’attend, vas-y….J’ai enfin ouvert, pour me retrouver dans un très long couloir blanc paré de porte closes d’où seuls les bip des électrocardiogrammes déchiraient le silence pesant du service…J’étais si paniquée que je du fiche la trouille à une jeune infirmière, car elle vint à ma rencontre pour savoir ce que je voulais…Pleurant je lui demandais où se trouvait la chambre de mademoiselle XXXXX et comment elle allait…L’infirmière me demanda qui j’étais, quel lien nous unissait avant de répondre…Il me parut tout naturel de répondre que j’étais sa compagne tout bêtement…A voir son air étonné je compris immédiatement qu’il y avait comme un léger soucis de compréhension entre nous…Je lui redis qui j’étais, et exigeait de la voir sur le champ…Elle tenta vainement de me calmer car je l’avais à la seconde où elle avait été curieuse cataloguée dans les ennemis à détruire…Je m’entendais du haut de mes 20 ans exiger expressément de voir le chef de service…Absent que celui-ci était…Absent…Mais je t’en foutrais moi de l’absence quand ma douce allait si mal…J’élevais la voix et commençais à ouvrir chaque porte lorsqu’au loin au fond du couloir je reconnu de suite un uniforme bleu auquel j’avais souvent eu à faire lors de mes fuites du pensionnat…La gendarmerie était là sur place…Enfin je pouvais parler à des gens qui allaient me comprendre, oui ben sauf que là-bas les flics ne savaient pas qui j’étais, qu’ils ne me connaissaient pas, et ce fut qu’à force d’argumentations qu’ils consentirent à me laisser entrer juste quelques minutes…Pour voir si c’était elle je suppose…C’est là qu’est arrivé un jeune interne certainement attiré par les éclats de voix et que celui-ci me demanda de le suivre… »Allons parler plus loin jeune fille, suivez moi et vous me raconterez ce qui se passe ». Un peu rassurée par le ton de sa voix je l’ai suivit sagement…Je lui racontais alors mon histoire enfin une infime partie, puis attendis qu’il réponde…

« Bon….Voilà ce qui se passe: Mme XXXX est dans un état léthargique, pas comateux, rassurez vous, mais pour je ne sais quelles raisons, nous ne parvenons pas à la sortir de sa léthargie…D’où notre inquiétude à son sujet…Vous la connaissez, peut-être pourriez vous nous en dire plus sur toutes ces traces et cicatrices et sur son passé médical…Nous avancerions un peu je vous assure »

« Pour les cicatrices et autres marques anciennes qu’elle porte sur le corps, particulièrement sur la face avant de sa personne, je ne crois pas devoir vous révéler d’où cela vient sans son consentement, vous comprenez à ce sujet elle est très discrète et reste traumatisée donc elle refuse d’en parler…Pour son dossier médical, à part qu’elle est allergique à la pénicilline et au paracétamol je ne vois rien à vous dire…Vous assurez qu’elle n’est pas dans le comas, mais elle n’ouvre pas les yeux c’est cela? »

« Effectivement c’est bien cela » avait répondu le jeune interne tout en griffonnant des notes sur son calepin personnel…

« Laissez-moi la voir et je vous en dirai plus, s’il vous plait, laissez moi la voir… » le suppliais-je…
« OK…OK, ça va, je vous conduis à elle, mais pas plus de 5 minutes ok? » Bien sur que 5 minutes ça me convenait plutôt que rien…Abruti va que je pensais tout bas…J’ai suivis ce jeune homme jusqu’à la chambre, puis il s’est effacé devant moi me laissant le soin d’ouvrir la porte…J’allais le faire quand il me dit de me préparer à avoir un choc, qu’elle avait été battue comme rarement il avait vu jusque là dans sa « carrière » de médecin…Pauvre con, tu es interne, pas encore diplômé, alors baisse ton claque merde…Ca je me suis bien gardée de le lui envoyer même si l’envie de le faire me démangeais…

Très doucement j’ouvris la porte et tout aussi précautionneusement j’entai dans sa chambre ou le bip bip des appareils contrôlaient ses fonctions vitales…Mon dieu quelle horreur…Ma déesse était très difficilement reconnaissable. Pas la moindre once de peau avait été épargnée sur son visage…Ses yeux étaient noirs tout enflés, ses lèvres ne ressemblaient plus à rien, ses splendides cheveux avaient été arrachés par endroit et cela lui faisait des tonsures épouvantables, des entailles fraichement recousues se étaient sur les arcades sourcilières, et deux autres sur la tête…J’ai hurlé comme jamais je ne me serai cru capable de hurler…Je ressentais en moi chaque coup qu’elle avait pris et vivais le même enfer qu’elle en la voyant dans cet état là…Qui était ce fils de pute qui avait osé? Quel fils de chien s’était permis de toucher à mon bébé, elle si fragile, si frêle…Si marquée déjà par ses putains de parents. Je sortis précipitamment de sa chambre en pleurant pour aller vomir dans le couloir…Un gendarme fort sympathique s’est approché de moi et m’a tendu son mouchoir avant de me demander qui était cette jeune demoiselle pour moi…Tout comme à la surveillante je répondis que j’étais sa compagne, et de nouveau ce malaise et cette incompréhension s’était installés dans don regard…il poursuivit en me disant qu’il avait en garde à vue l’un de ses tortionnaire et que lui se prétendait être SON compagnon,. Etonnée je demandais au flic de bien vouloir me confirmer une deuxième fois qu’il tenait le bourreau de ma déesse d’amour…Il a réitéré ce qu’il affirmait et ses doutes quand à mon lien avec ma douce…Je lui dis alors que dès qu’elle se réveillerait elle confirmerait ce que je dis et nierait avec force d’être la compagne de ce chien. Le flic n’en douta pas mais il me fit tout de même remarquer que pour cela encore fallait-il qu’elle accepte de sortir de sa torpeur…

« Monsieur, laissez-moi faire s’il vous plait, je la connais mieux que personne ici, je sais ce qu’il faut lui dire pour qu’elle ouvre les yeux, si tant est qu’elle puisse les ouvrir… » demandais-je alors à ce si sympathique gendarme. Pour une fois qu’un flic tentait de comprendre, j’en profitais allégrement et en abusais même…Il m’accorda cette faveur de retourner auprès de mon bébé quelques minutes…Je refis donc la démarche dans le sens inverse mais avant d’entrer je pris une profonde inspiration et me jura de ne plus pleurer ni hurler.

La même vision d’elle dans cet état me provoqua la même envie de hurler de pleurer la même envie d’étriper de mes mains ce fils de porc…Je réprimais mes envies meurtrières du moment et vins m’assoir près d’elle sur le bord de son lit pour lui prendre délicatement sa petite main car le poignet et trois de ses doigts avaient été fracturés en plusieurs endroits, et que pour remettre tout cela en état il lui fallait se réveiller pour être suffisamment stable afin de subir la pose de diverses broches…

« Bébé, c’est moi, ton délice mon ange….tu es à l’hôpital, tu ne risque plus rien mon amour, alors s’il te plait réveille toi une ou deux minutes pour moi, fais le bébé si tu m’aime… » Pas de réaction….Je répétait inlassablement ma phrase je voulais, non j’exigeais qu’elle se réveille. Elle n’avait aucun droit de me laisser là toute seule…J’ai supplié, imploré, prié mais rien à faire…Lasse, je haussais alors le ton et lui dis:

« Dis donc toi, miss C….. XXXX, pour qui tu te prends là hein? C’est quoi ce bordel que tu fous, tu va ouvrir tes yeux ou je jure sur ma vie que je te les ouvre de gré ou de force…Allez bouges toi et plus vite que ça, montres moi de quoi tu es capable… »

« Ta gueule bébé, tu me saoule… » Incroyable, ma stratégie avait fonctionnée…j’en pleurais de soulagement….Avant de me jeter sur elle pour l’embrasser j’appuyais sur la sonnette pour alerter l’infirmière, le médecin, la presse, le monde entier…Mon amour était avec nous, là bien vivante, toujours à lutter coûte que coûte…

« Je t’attendais délice tu sais »…Elle continuait de parler c’était formidable, non elle était formidablement courageuse vu son état général…Dieu que je l’aimais ma princesse…je l’aimais infiniment plus pour ce qu’elle était entrain de faire à la seconde même…Vous ne me croirez probablement pas, mais je vous jure qu’avant de se rendormir elle me dit ceci:

« Garce que tu es, la prochaine fois que tu oses me parler sur ce ton, je te jure sur ta vie que ça va te coûter très cher…Mais je t’aime mon ange » Je me suis retirée dans le couloir pour laisser le corps médical prendre soin d’elle…Jai passé deux nuits entières sans bouger une seule fois (sauf pour aller aux toilettes et aux lavabos me rafraichir) de chaise inconfortable, oubliant de m’alimenter, oubliant de dormir fumer et même boire…Je ne voulais plus la quitter des yeux par peur qu’elle ne me soit enlevée de nouveau…

Mon ange s’est doucement rétablie,, loin de moi puisqu’au 3ième jour j’avais été repérée par des membres de ma famille gitans, qui avaient immédiatement lancé le plan orsec pour me faire rapatrier au domicile conjugal…J’ai pris la raclée du siècle, mais rien en comparaison de ce que mon bonheur avait ramassée…Vous vous demandez pourquoi elle a été ainsi violentée? Ben tout simplement parce que désireuse d’appartenir quelques jours à un Maitre, elle s’était offerte à lui, et que celui-ci joueur de poker invétéré et looser en plus l’avait vendue à un autre Maitre pour la prestigieuse somme de 1500 francs…1500 francs, c’est tout ce que valait la vie de ma dulcinée pour ce fils de pute…Le second Maitre lui a confondu soumission et sadisme…Il était l’auteur des actes de violences perpétrés conte mon bébé d’amour…Elle n’a pas déposé plainte, son leitmotive était qu’elle avait joué et qu’elle avait perdue, qu’à l’avenir elle serait plus vigilante mais que pour le moment elle revenait du côté tendresse des femmes, et vers moi particulièrement….

Elle a été longtemps harcelée par ces deux batards de porcs, mais elle a tenu bon, elle a gardé le cap et est venue se réfugier chez moi durant quelques semaines, et un matin elle a repris son chemin….

Quand la cruauté n’a pas de limites on est en droit de se demander si s’offrir comme elle l’a fait à un Maitre qui nous est quasiment inconnu est la meilleure chose qui soit….

Duerme mi angel…duerme, mas nadie te hara dano mi diosa.Tienes llevarte contigo la mitad de mi existencia. Te quiéro dios que te gusto mi amor….

Tu delicia siempre y para siempre…..

 

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 13:45

jouissance[1]Bonjour à toutes et tous,

 

Me voici pour vous raconter comme Monsieur l’a expressément exigé notre séance de vendredi matin 16 juillet….

 

Dans un 1er temps, il faut que vous sachiez que mes servitudes quotidiennes ont un peu changées: avant je ne devais que réciter cinq fois la prière du Maitre en me doigtant énergiquement sans jouir, aujourd’hui, c’est avec le Plug anal inséré, le Gode vaginal en place et l’autre dans la bouche pour m’exercer à être profondément prise par la bouche que je dois réciter non pas 5 mais 10 fois mentalement la prière, tout en œuvrant sur mes jouets en place pour bien les ressentir…A la fin de ces dix fois, je recommence cette fois ci sans le gode en bouche mais à haute et intelligible voix avec ferveur et motivation tous en me godant la chatte vigoureusement et en remuant bien sur le Plug…A midi je dois remettre ça…Imaginez dans quel état d’excitation et de frustration je me suis trouvée car Monsieur était absent et que la fête nationale n’a rien fait pour jouer en ma faveur….Donc dans la nuit de jeudi à vendredi, j’envoyais un mail à Monsieur dans lequel je lui disais ne pas ne plus pouvoir effectuer mes servitudes le vendredi matin car je savais que cette fois ci je ne pourrai pas contrôler mon envie de jouir…Mon corps et ma tête me trahissaient. Qu’avec ou sans son accord je jouerai quoiqu’il puisse arriver, et que ni moi ni Monsieur ne pourrions rien y changer. Je lui dis également que je préférai de loin à ce que Monsieur consente à ce que je réalise mes servitudes avec lui…Monsieur fut généreux et accepta ma demande…je l’appelais donc comme il me le demanda…A peine les respects d’usage présentés j’entrai dans le vif du sujet en faisant savoir à Monsieur que j’étais assise sur le bord de mon lit et que mes jouets étaient tous prêts à rendre leur office.

J’ai pour Monsieur effectué la première partie de mes servitudes la bouche pleine, le Plug étant entré sans aucune difficultés, ainsi que le Gode vaginal…Je n’ai pu attendre que Monsieur m’autorise de jouir et me suis complètement lâchée…Sans pouvoir crier comme Maitre me faisait du bien j’ai jouie intensément…Je suçais Maitre avec frénésie en me regardant dans le miroir entrain de me goder très violement en même temps…Ensuite, j’effectuais la seconde partie en récitant difficilement ma prière, tout en prenant grand soin à bien faire des allers retours vifs et puissant sur mon Plug anal, et avec mon gode…Là aussi, impossible d’attendre que Maitre m’autorise le plaisir, en quelques secondes à peine l’envie était de nouveau là plus pressante que jamais…je jouie en hurlant que Maitre me prenne, qu’il me sodomise avec force et rage…J’ai vu ma mouille inonder puis tacher mon drap…Monsieur s’st dit être satisfait de sa chienne avant de raccrocher et m’ordonner de le rejoindre sur MSN…

J’ai accouru devant mon écran pour l’y attendre…Je du faire pour Monsieur le compte rendu à chaud de mon ressentis quand à ces deux moments intenses…Pendant que je faisais mon monologue sur MSN, Monsieur me dit que me lire le rendait encore bien dur, et il n’a suffit que de cela pour qu’une nouvelle fois je m’enflamme…Je dis à Monsieur que mon clito se trouvait être très gonflé et que j’avais encore très envie de jouir, que je n’en avais pas eu suffisamment et que j’en réclamais d’avantage…j’ai du me montrer convaincante car le ton de la discussion changea soudainement lorsque j’affirmais à Monsieur avoir aimé être insulté de tous les noms, que j’avais grand besoin de cela pour savoir où était ma véritable nature et ma place aux côtés du Maitre…Monsieur commença donc à me donner quelques consignes et lui décrivais avec autant de détails que possible comment je procédais…Mon bassin s’était remit instinctivement à onduler sur le Plug et j’en ressentais tous les bénéfices et ma main guidait avec adresse le gode dans cette chatte détrempée mais toujours aussi avide…Puis avec de temps à autres je titillais mon clito qui lui à la seconde sollicitation lâcha un jet de jute assez conséquent et sans vraiment avoir besoin de le dire à Monsieur je jouie une 3ième fois, mais cette fois ci ce fut moins violent que précédemment…Monsieur me demanda alors de remplacer le Plug par mon gode. J’étais tellement détendue en pensant à Maitre que celui-ci s’est inséré aussi facilement que le Plug, comme si mon cul n’avait attendu le membre de mon Maitre toute sa vie…Là au premier aller retour sur ce gode tout s’est subitement emballé, je ne maitrisais absolument plus mon corps ni ma tête et encore bien moins mes mots…Je suppliais Maitre de me défoncer, d’y aller encore plus fort, que Maitre me fasse mal, très mal, que Maitre m’humilie en m’insultant copieusement…Je lui disais combien j’aimais sentir sa queue en moi, que je voulais avoir l’impression qu’elle était dans ma bouche tant les coups de rein de Maitre étaient violent dans mon cul…Surprise, j’ai même demandé à Maitre de me fesser fort de plus en plus fort, jusqu’à m’en faire hurler, j’avais atteints une jouissance complètement dévastatrice qui ne s’arrêtait plus du tout…Et Monsieur qui acceptait avec joie tout ce que je réclamais à grand renforts de cris et de mots frappés difficilement sur le clavier ne faisait qu’accentuer d’avantage cet état ravageur…Notre dialogue pour le moins porno a duré près de 7ou 8 minutes durant lesquelles Maitre m’a intensément fait jouir, au point que honteuse lorsque la tempête s’est calmée, j’ai avoué à Monsieur m’être pissé dessus sans m’en rendre compte…jamais cela auparavant ne s’était produit, et je m’en excusais bien sincèrement et humblement auprès de Monsieur qui me dit qu’à l’avenir il me faudrait contrôler cela car Monsieur détestait qu’une chienne se pisse dessus…J’en ai fais la promesse bien sur…Puis notre dialogue a repris sur un ton plus anodin, mais assise sur ma chaise les cuisses encore écartées, je ne pouvais pas m’arrêter de trembler les pieds pataugeant dans mon urine, tant cela avait été intense pour moi…Monsieur me dit alors qu’il avait toute confiance en moi, que j’étais fin prête à le recevoir dans tous mes orifices car du statut de salope je venais selon Monsieur de passer à celui de très grande salope…Une bonne chienne qui jutait et mouillait juste comme Monsieur les aimait…Ce très grand compliment me toucha profondément mais pas autant que celui que Monsieur me fit lorsqu’il me dit l’avoir excité très fort…une larme d’émotion est montée car je visualisais le plaisir que je venais de donner à Maitre…Sa satisfaction personnelle étant pour moi la plus douce et la plus chère des récompenses.

Depuis vendredi 12h, je fais ceinture…pain sec et eau comme je dis souvent, car « il » est rentré parce que ses matériaux de chantier n’avaient pas été livré et qu’ils ne le seraient pas avant mardi fin de journée, donc en plus de passer le weekend avec j’apprenais nos sans un certain déplaisir et une très grande déception qu’il n’allait pas me lâcher jusqu’à mercredi matin…J’vais crains qu’il ne mette ce long mais alors très long weekend à profit pour me baiser chaque fois que l’occasion de le faire lui serait donnée, et bien quedal, « il » m’a sexuellement ignorée jusqu’à mardi soir. Pendant que je tapais quelques lignes sur mon ordinateur, « il » exigea que je le rejoigne à ses côtés, ce que je fis bien évidemment….Je commençais donc par une masturbation dans les règles de l’art, pas de fellation, je n’en avais aucune envie, histoire de raidir d’avantage son truc et de le rendre plus vigoureux, car j’avais le secret espoir de réussir cette fois ci à jouir en pensant fortement que c’était mon Maitre qui officiait pour me donner et prendre du plaisir…Puis la dernière fois à force d’imaginer Monsieur j’avais faillis y parvenir, donc cette fois ci je comptais bien y parvenir quand même…J’aime ma cérébralité, sans elle il y a bien longtemps que j’aurai rayé le mot jouissance de mon vocabulaire…Oui ben, tenez vous bien…..Si les chevaux ont un coït de 4minutes 30 secondes, « il » à fait l’extraordinaire performance de deux minutes de…..moins bien sur…Au moment ou « il » a inséré sa chose en moi, en position quatre pattes, j’avais noté qu’il était 21h25, quand le radio réveil afficha 21h27, il était déjà entrain de laver son pinky…Le pinky est un petit ver rouge qui sert d’appât aux pêcheurs et qui n’est pas plus long que 0,2millimètre…Oui je sais que j’exagère, mais bon faut me comprendre aussi…je voulais pouvoir annoncer à Maitre que j’avais réussis à jouir avec « il » tout en pensant à lui…Tout en ayant remplacé « il » par Maitre…Je suis restée sur ma faim et à l’heure ou j’écris (04h57) je suis toujours excitée avec cette envie de me faire entièrement posséder par Mon Maitre, mon Seigneur et Maitre que je vénère….

Voilà c’était l’extraordinaire weekend de baise de soumise88.…déçue et frustrée comme d’habitude lorsqu’elle n’a pas de contacts avec son Maitre pour la diriger….Je suis impatiente de retrouver enfin Maitre ce matin…Vivement 7h30 que « il » reparte là où il est le plus compétent…Au boulot!!!!!!

 

A très bientôt pour de nouvelles aventures….Merci de votre passage sur mon blog de votre intérêt à me lire et de tous vos sympathiques commentaires….

Chienne soumise et docile de son Maitre, soumise88

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 13:26

photos-lesbiennes-4Derrière la porte de la salle de bain, quelques bruits étouffés par la cloison, bruits que je parvenais pas à identifier, mais j’avais accepté, alors quoique ma déesse ai pu imaginer pour moi, pour elle ou pour nos 20 printemps, je savais qu’il me faudrait être consentante ou l’endurer…Je redressais donc la tête, mon amour détestait plus que n’importe quoi qu’une femme ne sache pas être Femme en rentrant sa tête dans les épaules…C’est d’une laideur disait-elle toujours, et me faisait remarquer qu’il n’y avait pas plus belle fierté que celle d’être une femme qui s’assume complètement tant dans son être que dans la vie en général…Elle avait raison, c’est aujourd’hui que j’en ai pleinement conscience, aujourd’hui seulement et il est hélas bien trop tard…..Donc j’étais là debout tête haute et commençais à nettoyer la cravache en suçotant timidement le bout souillé…Le goût du cuir et de ma cyprine mélangés avait une saveur amère et laissait dans ma gorge une impression d’âcreté épouvantable…Je jugeais alors la cravache suffisamment propre et cessais de suite toute activité sans pour autant bouger de ma place ni de position…J’ignorai ce qu’il fallait que je fasse alors dans le doute, mieux valait ne pas prendre d’initiatives trop périlleuses pour mon arrière train…C’est ce que j’étais entrain de me dire en regardant plus attentivement cette effrayante cravache que je tenais encore en tremblant, lorsque ma divine beauté sortit de la pièce d’eau…Waouh je restais sans voix, muette d’admiration, dieu qu’elle était belle ma princesse ainsi vêtue…Elle portait un corset noir et blanc une paire de bas noirs et de très hauts talons qui renforçaient sa cambrure naturelle…A couper le souffle qu’elle était…je ne parvenais pas à détacher mes yeux d’elle…J’étais comme hypnotisée, pétrifiée tout comme le serveur du restaurant…Lorsque j’étais dans cet état de béatitude totale, si une urgence se présentait inopinément, mieux valait prier tous les saints connus parce qu’en cas de danger immédiat fallait pas compter sur moi, j’étais hors combat….Très sèchement elle ordonna:

« Ouvres le lit entièrement, déshabille toi complètement et place toi à quatre patte au centre dans le sens de la largeur, magne toi »

Dit comme ça, je compris de suite qu’il fallait obtempérer sur la seconde et ne pas trainer à être prête…Oui mais prête à quoi? C’est la question que je me posais quand je la vis brandir quatre gobelets en plastique et une bouteille d’eau…Ah non! Elle n’allait pas me refaire le coup de l’église quand même, pas dans notre lit…Je n’ai pas eu le temps de poser plus de questions ni même d’ouvrir la bouche, qu’elle se trouvait déjà à ma droite plaçant les quatre verres en équilibre sur mes reins à l’endroit le plus plat du dos, elle les remplit tous lentement d’eau tout en me disant:

« Gare à toi si un seul de ces verres tombe sur le lit et mouille le drap, tu sais que j’ai horreur d’être dans des draps humides hein? »

« Oui bébé, je sais »…Vlan une claque magistrale venait de s’abattre sur ma cuisse et fit dangereusement vaciller les verres

« Oh pour qui tu te prends là garce, qui suis-je ici pour toi? »

Mais où donc avais-je la tête moi? Evidemment elle n’était plus mon bébé, mon amour, elle était Maitresse et elle entendait bien à être respectée comme telle.
« Pardon, Maitresse » ais-je rectifié immédiatement….

« Voilà qui est nettement mieux ma jolie garce. as-tu fais ce que je t’ai demandé dis moi? »

« Oui Maitresse, la cravache a été minutieusement nettoyée avec la langue »…Elle se saisit de la cravache posée sur le lit pour l’examiner de plus près. Elle la porta sous son nez et huma son odeur…Vlan, un coup sur le cul!

« Tu te moque de moi là n’est-ce pas? »

« Mais non Maitresse, pas du tout…j’ai nettoyé avec ma langue », les larmes coulaient sur mes joues, la brûlure du coup m’avait cinglé et cela me brûlait très fort…Elle m’en reparlerai de notre 20ième anniversaire, je me chargerai bien de le lui rappeler me suis-je dis mentalement…Elle reprit avec le même ton sec:

« ah bon? Et tu trouve toi que c’est propre? Que ça sent le cuir ou la cyprine de ta chatte en feu? » et je sentis le bout de la cravache me caresser les lèvres et remonter jusque sous mon nez. Forcée de sentir, contrainte de reconnaitre ce qu’elle voulait entendre fut-il que cela soit faux, je lui dis qu’effectivement je n’avais pas correctement fait ce qu’elle attendait de moi et m’en excusai humblement. Avec XX je n’avais droit a aucune excuse ni aucune faveur depuis quelques mois déjà. Soudain le ton de sa voix changea brutalement et elle se fit enjôleuse et caressante, douce et tendre, pour me dire:

« Tu sais ce dont on parlait tout à l’heure mon ange, le plaisir avec l’objet qui fait mal et vice versa, tu te souviens? »

« Oui Maitresse, je me souviens parfaitement », je n’allait pas tomber dans le panneau cette fois, je savais qu’elle me testait…

« Et bien tu y a goûté ma belle…Au restaurant pour le plaisir, et là pour la douleur…Qu’en penses-tu chérie? »

« Maitresse, j’aime ce que vous aimez et pense ce que vous pensez, vous et moi ne faisons qu’une seule et même personne vous le savez bien »…Et les verres qui tremblotaient à chaque mot énoncé…Maudits verres!!!

« Oui je sais mon délice, toi et moi c’est moi et toi, mais que penses tu de cette manière d’avoir du plaisir, honnêtement? »

« Je pense que je n’aime pas cela, c’est pour moi trop physiquement brutal Maitresse » lui dis-je en murmurant pour que ces putains de verre restent là où ils devaient rester…

« Ah oui, trop physique pour mademoiselle,? Je présume que tu préférerai avoir a souffrir avec ta tête plutôt qu’avec ton corps non? Je me trompe? »

« Non Divine Maitresse, vous avez raison… »

« Bien dans ce cas, je vais t’exaucer ma toute belle. »,mais pour commencer je vais me faire plaisir ensuite ce sera ton tour d’accord comme ça petite garce? »

« Comme ma Divine Maitresse le voudra… » Pas eu le temps d’en dire plus…Elle passa sa main entre mes cuisses, entra dans ma fente sans aucune douceur étira mon clitoris, et commença à taper pas très fort mais assez tout de même pour que les verres bougent, sur ma croupe offerte en chantant joyeux anniversaire et en comptant bien très lentement jusqu’à 20...D’habitude c’est les oreilles que l’on tire, mais mon égérie ne faisait absolument rien comme tout le monde…Oups!!! Un verre s’était renversé, l’eau coula le long de mes flancs et goutta sur le drap blanc…Je sentais déjà le second prendre le même chemin…je tentais désespérément de recadrer le tout en améliorant la position mais peine perdue…deux autres basculèrent sous le changement trop brutal de ma position et le dernier sous les deux dernières claques qui étrangement se firent plus fortes…A présent le drap était trempé…

« Ah non, salope va, tu t’es encore pissé dessus…vraiment tu ne contrôles pas ton corps toi… »

« Mais maitresse ce sont les verres qui sont tombés , pas moi qui me suis pissé dessus… »

« Mais oui les verres….pardon chérie je les avais oublié ceux là…Les quatre sont renversés si je ne m’abuse? »

« Oui Maitresse, les quatre, pardonnez moi divine Maitresse de n’avoir pas su les tenir… »

« Pardonner? Encore!!! Tu abuse considérablement de ma bonté tu sais…Bon ça va, je pardonne c’est ton anniversaire mais il va falloir choisir entre deux possibilités amour… »

« Lesquelles Maitresse? » demandais-je très pressée d’en finir…

« Et bien….Soit tu acceptes sans poser de question une punition surprise et tu ne jouiras pas cette nuit soit tu accepte d’être cravachée et tu pourras avoir autant de plaisirs que tu en voudras…Alors? »

« La punition surprise Maitresse » ais-je immédiatement choisis sans réfléchir…

« Sûre de ton choix? Tu ne veux pas revenir dessus?. »

« Non Maitresse, j’ai choisis cela et ne reviens pas dessus… »

« Bien…je savais que tu choisirai cela garce….Ce faisant elle était entrain de doigter ma chatte brûlante et presque dégoulinante, avec deux doigts et avec un autre elle branlait mon clito avec adresse…je voulais jouir, j’en avais tellement envie…Mais il ne fallait pas, j’avais opté pour la punition surprise et devais en assumer toutes les conséquences directes ou indirectes…..

« Très bien, soit! C’est ton choix, tes 20 ans, c’est toi qui vois…. » et ses doigts allaient et venaient plus vite, plus fort, dedans dehors, en haut en bas…Je gémissais, j’aimais la sentir comme ça avec moi, plus que tout j’adorais quand elle était en moi et qu’elle me laissait sentir comme je l’excitait à mouiller pour elle…Elle me laissait même le droit parfois de venir sentir sa fine toison et lui mettre quelques coups de langue, puis je la finissais selon ce qu’elle voulait…Soit mes doigts, soit ma langue, car nous ne connaissions pas encore les sex-toys, mais nous n’allions pas tarder à en découvrir les merveilleux bienfaits mais laissons cela de côté, ça me permettra de faire un autre article sur le sujet…..Oui et bien ce soir là justement je n’eu pas droit à ma petite douceur qu’elle aimait quand même m’octroyer, et étant sur le point de jouir, j’aurai aimé qu’elle s’approche plus près, qu’elle me donne sa chatte et que je lui donne du plaisir…Beaucoup de plaisir pour peu que je la laisse tout maitriser. Non pas ce soir et même si j’étais arrivée au bout des limites restrictives de mon corps et que je la suppliais de venir et me récompenser pour ma docilité…

« Non ma douce, pas ce soir…C’est toi qui as choisit bébé, tu te souviens hein? »

« Oui Maitresse, je me souviens, mais…. »

« Stop! Tu m’agaces à la fin avec tes mais, tes pourquoi et tes patati et patata…Tiens tu as gagné j’ai plus envie de toi, va te mettre assise sur les oreillers le dos bien plaqué contre le mur et relève tes jambes en écartant bien les cuisses pour que je vois ta chatte pendant que je…non, je te réserves la surprise…allez obéis garce et plus vite que ça… » et vlan encore une violente claque qui venait de s’abattre sur mon cul alors qu’elle venait très brutalement de retirer ses doigts de mon antre en fusion….Déçue de sa colère et de ne pas avoir prévu ce qui venait de se passer, j’ai rapidement obéis, car j’avais encore la vision de la cravache et en ressentais la brûlure…Pendant que je me plaçais comme elle venait de l’exiger, ma douce prit le téléphone et appela le standard…

« Bonsoir, chambre 431, pourriez vous dire à C….. de monter je vous prie, si toutefois elle en a terminé avec ses obligations…Ne vous inquiétez pas votre patron est au courant, vous pouvez l’appeler pour confirmation »….Je ne sais pas qui était l’autre interlocuteur ni ce qu’il lui répondait mais je commençais à trouver cela étrange. Que m’avait-elle encore réservé? Elle n’allait tout de même pas me faire affronter ma phobie…non, pas ça…A l’idée seulement, je commençais à frémir mais point de plaisir, non une réelle peur venait de m’envahir tout entière et impossible de contrôler mon claquement de dents qui commençait à se faire entendre…Le dialogue avait repris:

« 5 minutes vous dites? Non, cela est parfait…Entendu, je l’attends. Je vous remercie, bonne soirée, au revoir… » et là-dessus elle raccrocha…Elle se tourna vers moi vérifia l’exactitude de la prise de position et me dit:

« Bon…A nous deux jeune garce….Donc quatre verres de renversés, c’est bien cela hein? »

« Oui Maitresse, c’est bien quatre verres » dis-je en baissant les yeux…Le bleu acier de son regard était devenu insupportable à affronter…Lire dans ses yeux la déception que je venais de lui provoquer m’arrachais littéralement le cœur…

« Bon, avisons donc…Quoique tu puisses voir ou entendre, toutes les 10 minutes tu devras te branler vigoureusement le clito pendant 4 minutes sans t’arrêter et surtout, surtout sans jouir…Tel fut ton choix souviens t-en »…je ne pu ajouter quoique ce soit car un léger coup venait d’être donné à la porte et ma divine s’en trouva très vite excitée car elle se rua sur cette porte pour ouvrir au visiteur…

« Viens vite entre…Elle attend… » et à ma plus grande surprise je vis entrer devinez qui….Oui oui vous avez deviné…La belle hôtesse d’accueil…Elle était vêtue d’un long manteau beige qu’elle retira dès que la porte fut refermée…Rien, mais absolument rien sur elle…Elle était intégralement nue dessous…Une vision magnifique sur un splendide corps que j’avais là…Evidemment à côté de ma reine elle paraissait bien fade, mais avisée seule elle était à manger toute crue…..

« Bébé, voici C….. une amie. C…je te présente mon p’tit délice à qui je souhaite l’anniversaire…Tu veux bien être mignonne et lui montrer qui tu es? »

« Bonsoir p’tit délice….Joyeux anniversaire…. » et elle se mit à genoux devant ma déesse qui écartait ses jambes et lui offrait sa chatte…NONNNNNNNNNNNNN pas ça…Pas ce soir avais-je envie de hurler…Ma princesse me dit de commencer à me triturer le clito durant quatre minutes et ce chaque fois que retentirait une petite clochette…Elle jeta sa tête en arrière dans un râle de plaisir…Apparemment la belle C… savait s’y prendre…Elle était appliquée consciencieuse, et prenait tout son temps pour déguster ma douce…Elle appréciait cela à sa juste valeur car elle aussi râlait et gémissait…J’étais là à me caresser la chatte les yeux rivés sur le spectacle offert excitée oui mais torturée de ne pas être invitée à la fête…Elles étaient maintenant sur le lit, leurs mains se cherchaient et se caressaient mutuellement, les langues se mélangeaient, les cris se confondaient et leur deux corps cherchaient à fusionner ensembles. Piteusement j’attendais que retentisse la cloche pour reprendre mes activités manuelles espérant pouvoir jouir discrètement en les regardant se donner l’une à l’autre…Il n’y avait en ce monde rien de plus exquis ni de plus magnifique que ma déesse qui prenait du plaisir avec quelqu’un d’autre…J’aimais la regarder jouir, voir son corps se cambrer sous les assauts d’une langue adroite ou de doigts manœuvrés avec dextérité. Elle se tendait à se démembrer et soudainement tressaillait quelques minutes, frémissait de tout son merveilleux corps doré, puis explosait dans un long cri qui en général me faisait craquer et plus rien contrôler….Cette cloche qui ne sonnait toujours pas…Quand, mais quand donc allait-elle me délivrer de mon attente? Allait-elle attendre la dernière seconde pour la faire retentir? J’osais un très timide « Maitresse, la cloche… », elles ne m’entendirent même pas tant elles étaient occupées à se donner et à se prendre…J’étais chaude, que dis-je, brulante, les tétons durs, le clito enflé et agacé par l’envie d’être encore titillé, la chatte béante et dégoulinante de mouille qui tachait l’oreiller…Ca y est, mon amour ressentait les signes avant-coureurs d’un très long orgasme qui allait la dévaster dans quelques secondes….. »Maitresse, s’il vous plait, la cloche… » tentais-je encore une fois…rien, pas de réponse…juste quelques ressauts sur le lit, puis comme je le pressentais, un long cri qui en disait long sur l’intensité de l’orgasme…Tout son corps se souleva comme pour intensifier l’appui de la langue de C…. sur sa chatte, prenant sa tête entre ses mains elle l’empêchait de se relever, elle l’exigeait sur elle encore quelques minutes… Elle l’exigeait plus que moi…Je rageais de colère et de jalousie…j’étais cependant consolée par le fait que tout aussi magnifique qu’elle était; ma douceur n’avait pas encore consentis que C… ai un orgasme car elle finissait de jouir et ne demandait pas qu’elle lui donne sa chatte…D’habitude elle s’empressait de me demander de venir en 69, et pendant qu’elle terminait de jouir elle me donnait ce qu’elle nommait ma récompense…Là rien…Pas un mot, pas un regard pour elle. Oui, j’étais quelque peu réconfortée par le délaissement que subissait C…Mais je ne le fut pas bien longtemps…

C… se releva, aida ma déesse à se lever également puis attendit sans rien dire la suite du programme…

« Ca va mon ange? » me demanda mon amour.

« Oui Maitresse, ça va, merci…Mais je n’ai pas entendu la cloche Maitresse, et…. »

« Et quoi garce? Tu imaginais sans doute qu’elle allait retentir vraiment? Tu pensais pouvoir prendre ton pied sans rien me dire? Dis moi que je me trompe mon cœur, allez dis moi que ce n’est pas vrai… » Là évidemment j’hésitai à lui dire qu’elle avait raison puisque de toute façon elle ne l’ignorait pas, mais l’idée de lui mentir me répugnais fortement… Cruel dilemme que j’avais là…mentir ou dire la vérité…Me laisserait-elle le bénéfice du doute? …

« Oh tu dors que tu ne réponds pas? »

« Non Maitresse, je réfléchissais à… »

« Oui je sais, tu te demandes si tu dois mentir ou pas…je te connais tellement garce…Alors cette réponse elle arrive oui? » et elle se déplaça vers C… pour commencer à la caresser. Elle pinça les bouts de seins très réactifs de cette petite salope, ainsi je la nommais car elle retenait l’attention de ma Maitresse, puis lui massa délicatement les deux magnifiques globes mammaires et descendit vers le bas de son ventre en suivant avec ses ongles une ligne bien droite que ceux-ci dessinaient sur la peau fine de C… puis les fit remonter dans le dos en commençant par le bas de ses reins…la griffure infligée était rouge et remontait le long de ses vertèbres…cette salope aimait ça car elle se cambrait d’avantage sur le passage des doigts qui torturaient langoureusement en émettant de petits sons plaintifs et excitants…Elle avait mal et elle adorait ça…Je revins une seconde sur terre pour répondre à ma déesse et lui dire sans vraiment penser aux mots qui sortaient de ma bouche alors que mon regard ne parvenait plus à les quitter:

« oui…Maitresse à raison, elle a deviné les intentions de sa garce »

« Et bien ce n’est pas trop tôt j’ai même faillis attendre! » me répondit celle que je vénérais plus que tout. Mon état d’excitation et mon envie empiraient chaque seconde, se faisant chacun plus pressant, plus fort…Je tentais de m’aventurer discrètement à glisser un doigt ou deux dans la fente de ma fournaise, espérant vivement qu’elles ne verraient rien trop prises par leur manège pervers mais délicieusement bon à regarder…Je commençais alors de tous petits tapotements sur mon bourgeon gonflé et impatient, puis plus hardie de ne pas avoir été « repérée » je les fis entrer dans la lâve de mon fusionnant volcan…J’émis un « humm » indiscrète, presque dérangeant ce qui de suite alerta ma tendre dulcinée qui leva vers moi les yeux et dit à C… en découvrant mon affront de désobéissance:

« Regardes moi celle-ci qui s’imagine qu’elle peut me rouler…Que devrions nous faire C…pour lui apprendre les règles de bonnes conduite à ton avis? » La délicieuse salope ne répondit pas mais se détacha de ma tendresse et vint vers moi…Elle agrippa fermement mon bras et tira dessus si fort que je tombais à plat ventre sur le lit. Toujours sans dire le moindre mot, elle me fit comprendre de me mettre à quatre pattes et de sa main elle releva avec la même fermeté ma tête…Oh qu’est-ce qui lui prend, elle veut me rompre le cou ou quoi cette salope? Pensais-je alors, mais je fis comme elle et resta muette seuls mes yeux brillaient d’excitation ou pour annoncer une autre larmes…J’étais partagée entre le plaisir de jouir et l’envie de ne pas me laisser aller vaille que vaille, et coûte que coûte ne serait-ce que pour ne pas déshonorer ma royale princesse qui avait repris la cravache et menaçante la faisait claquer sur la paume de sa main…C…se présenta devant moi à genoux sur le lit, et de son index indiqua où elle voulais que j’opère sur elle…Enfin! Oui enfin j’allais pouvoir me régaler enfin j’allais pouvoir goûter son nectar que j’imaginais déjà inonder ma bouche et j’en salivais, même si j’eu nettement préféré rendre cet hommage à ma douceur…Impatiente ma langue s’engouffra entre les lèvres à la recherche avide de cette substance convoitée…Je lapais et léchais autant que je pouvais aussi bien que je savais, mais elle restait de marbre et je ne comprenais pas…Etais-je donc incapable de satisfaire une autre que ma Maitresse? La rigidité de son corps était la preuve honteuse de mon inefficacité et devant ce navrant spectacle XXX vint comme toujours à mon secours…La cravache s’éleva dans les airs et s’abattit avec un sifflement sur le dos ou le cul de C… qui réagit sur la seconde en disant un Oui des plus convainquant…Ainsi c’était donc ça, C… aimait souffrir atrocement pour trouver du plaisir. Je ne sais plus combien de coups atterrirent sur elle, mais chaque fois que j’entendais ce sifflement particulier je sentais également son corps tressaillir de bonheur en percevant qu’elle se laissait aller et acceptait sa souffrance en la rendant jubilatoire. Lorsqu’elle fut sur le point de non retour tout comme moi elle demanda la permission de jouir à XXX qui cessa de la frapper et la retourna face à elle, l’obligeant à s’allonger la tête sous moi, et à écarter ses jambes pour être totalement à sa merci. Je vis alors mon bébé s’agenouiller devant elle, mettre sa tête entre ses cuisses et commencer son œuvre linguale…Là je pleurais de rage et de jalousie…Comment pouvait-elle ce soir là me tromper sous mes yeux et me demander de rester stoïque? J’allais me relever et mettre un terme à tout ceci quand je sentis la langue de C…forcer ma chatte et aspirer mon bouton…Bon tans pis, je ferai des réclamations plus tard va, pour le moment plus question de bouger un cil seulement tant la demoiselle était experte en matière de cunnilingus et je n’allais pas me priver d’un tel savoir faire quand même….J’allais jouir quand C… me devança de quelque secondes, et tout en se laissant aller aux baisers goulus et violents de ma naïade elle prit entre ses dents mon clito qu’elle mordillait tel une chiot jouant avec sa balle en plastique…je sentais ses dents me pincer fortement le bouton, puis les petites lèvres, et plus elle jouissait plus elle intensifiait la morsure. La douleur fut telle lorsqu’elle finit de jouir qu’elle coupa net mon envie d’en faire autant…Epuisée par tant de contractions musculaires pour m’interdire de jouir, je fondis en larmes, et aussi surprenant que cela puisse paraitre en me laissant aller à pleurer je sentais tout mon être se détendre, mes muscles se relâcher et même que j’en éprouvais un certain bien -être, à la limite du plaisir…Non me dis-je, tu n’es pas C… tu n’as pas besoin de souffrir physiquement pour être satisfaite, non pas toi, pas comme elle…Le constat était amèrement triste, je me refusais absolument à être comme C… Non je ne voulais pas que mon ondine adorée devienne aussi violente avec moi, cela allait à l’encontre de tout ce que je savais qu’elle était capable de donner comme tendresse…Ca ne pouvait pas être concevable. Maitresse se releva regarda le corps de C… complètement détendu et inerte puis déposa de son mont de vénus à sa bouche une ligne de tendres baisers…Voilà c’est comme ça que je reconnaissais mon amour…Tendre et passionnée, pas celle qu’elle m’avait laissé entrevoir ce soir…Après un très sensuel et langoureux baiser elle la remercia gentiment en lui tendant son manteau et lui dit de l’excuser mais elle lui demandait de partir car il était temps qu’elle s’occupe enfin de son petit délice et ne voulait partager cela avec personne…Oui…Enfin elle revenait dans mon monde, Notre monde…Souriante, C… accepta de partir sans ajouter le moindre mot, elle l’embrassa sur le front puis vint embrasser mes reins et me chuchota à l’oreille

« Un jour p’tit délice, tu sauras, tu aimeras, fais confiance à ta Maitresse pour ça… », et elle partit aussi rapidement qu’elle était entrée dans la chambre. La porte se referma me laissant enfin seule avec ma divine beauté qui elle me dit amoureusement:

« Et bien mon ange, j’ai cru que je n’y arriverai pas dis donc…Tu en as mis du temps chérie à comprendre… » Là XXX ne jouais plus, elle était redevenue ELLE, et n’agissait plus en qualité de Maitresse, mais en femme amoureuse, celle que je préférais de loin, la plus belle d’entre toutes…

« Comprendre quoi mon cœur? » lui demandais-je en me relevant avec entre les cuisse cette sensation de sentir C… me mordre encore…

« Tes larmes mon amour, tes larmes simplement…Tu t’ai enfin abandonnée, c’st un premier pas vers d’autres découvertes que tu aimeras je ne doute pas de cela…merci mon bébé pour ce cadeau merveilleux que tu viens de me faire. C’est mon plus bel anniversaire et je ne l’oublierai pas de sitôt fais moi confiance. Allez viens vite contre moi mon ange, viens chercher ce dont tu as besoin maintenant, et laisses-toi aller sans craintes parce que je suis là pour te consoler aussi …Je me suis jeté sur elle pour me lover contre elle….Dieu que sa chaleur était bienfaisante, comme l’odeur de sa peau après ces jouissances était bonne, et ses caresses tendres et réconfortantes…devant tant d’amour de sa part, devant tant de démonstrations amoureuses que je me remémorais avec plaisir, sans comprendre encore pourquoi je me remis à pleurer doucement, sans bruit, je laissais se déverser quelque chose enfouit très au fond de moi mais j’en ignorai le sujet mais quel bien cela faisait de ne plus se retenir, de sentir ce mal se vider avec mes larmes. XXX me berçait doucement comme une mère l’aurait fait avec son enfant en me caressant les cheveux puis elle me demanda de refaire le lit en mettant deux serviettes éponges à l’endroit où les verres s’étaient renversés et de m’allonger en attendant qu’elle revienne une fois de plus de la salle de bain….Ma montre annonçait déjà 3h45...dans quelques heures elle allait me quitter encore une fois, elle allait m’abandonner là une fois de plus…Je décidais de ne pas prendre le facteur temps en considération mais de profiter pleinement de ce qui nous restait à être ensembles, simplement là toutes les deux dans les bras l’une de l’autre sans rien faire d’autre que nous parler ou nous caresser le corps avec tendresse mais sans recherches particulières…Juste un doux et bon moment de plaisir tendresse entre deux femmes qui se vouaient un amour sans limite…Mes yeux se faisaient lourds de plus en plus lourds…..Je m’endormais paisiblement bien que légèrement frustrée, mais cela n’avait pas d’importance, ma divine m’avait offert le plus royal cadeau en se donnant du plaisir et même si je n’avais pas été l’auteur de ses jouissances…J’aimais la voir se donner comme cela elle n’en était que plus belle…J’ai sentis mon amour se mettre au lit et venir se coller contre moi…Ses mains si douces si chaudes partaient à la recherche de mon corps, et dans mon demi sommeil je me retournais pour lui faciliter la tâche…Nous fîmes l’amour très tendrement, avec beaucoup d’amour dans chacune de nos caresses…Il n’y avait plus de soumise ni de Maitresse, mais juste deux corps et deux cœurs qui s’aimaient passionnément. Après nous être possédées puis données, repues de câlins de tendresse et plus fortes de cet amour, elle se retourna, se pencha et ramassa de terre un petit fraisier sur lequel il y trônait deux bougies, qu’elle alluma, et en me regardant elle me dit

« A toi mon ange, pour tout ce que tu es pour moi, pour tout ton amour…Je t’aime bébé, joyeux anniversaire mon délicieux petit vice… » et elle tendit le gâteau vers moi pour que je souffle les bougies…

« Ma déesse, ensembles s’il te plait…Comme avant et pour toujours, juste toi et moi…Je t’aime mon ondine, je t’aime bien plus que ma vie… » Elle souffla en même temps que moi, me fit un long baiser que je rendit passionnément, puis elle me tendit un superbe petit cadeau… »tiens mon ange, j’ai pensé que… » fébrilement, impatiente j’arrachais déjà le papier pour extraire le petit écrin bleu marine cerné d’un ruban doré…J’ouvris la boite et une nouvelle fois je fondis en larmes…Dedans un collier en or sur lequel pendait un petit serpent, deux bagues en argent motif serpent, et une petite broche argenté absolument superbe qu’elle avait fait faire rien que pour moi par une de ses nombreuses amies créatrices de bijoux fantaisie…Un serpent qui traversait le signe de l’infini…Pour nous le serpent représentait tout un symbole…Symbole de notre fidélité l’une à l’autre et passé dans ce huit couché c’était me dire l’immensité des sentiments qu’elle me portait…Quelques mois auparavant je lui avait offert ce même objet monté sur une bague…Fidélité dans l’infinité de notre amour.
Nous nous sommes sagement endormies dans les bras l’une de l’autre, cette fois j’étais définitivement bien, sans frustrations, sans peurs, sans stress…Tout allait si bien quand elle était là….

Au lever du jour elle appela sa faculté pour prévenir qu’elle ne serait pas en cours avant le lendemain…Elle voulait rester encore, avec et contre moi….Dieu que je l’aime ma reine…Oui…je l’aime pour l’éternité….

A toi ma divinité royale…Veille sur moi et guide moi là où tu voulais m’emmener…Sans toi mon ange je ne suis plus que la moitié de moi, la moitié d’un cœur parfois trop las de battre tant la souffrance de ton absence est cruelle…Te quiéro mi amor…

Par soumise88 - Publié dans : journal intime - Communauté : salope soumise
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